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Alastair Noam Sullivan - J'aime faire mal, il est où le problème ?

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Fiche RPG

MessageSujet: Alastair Noam Sullivan - J'aime faire mal, il est où le problème ? Alastair Noam Sullivan - J'aime faire mal, il est où le problème ?  EmptyVen 13 Sep - 19:12

Alastair Noam Sullivan
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Alastair Noam Sullivan - J'aime faire mal, il est où le problème ?  411288ZI6BmpP
GROUPE: Esprits
ÂGE: 249 ans
DATE DE NAISSANCE:
LIEU DE NAISSANCE:

NOM D'ESPRIT & CLASSE: Furfur - Dibbouk
Furfur n'est pas passé par les autres étapes qu'un esprit peut être amené à connaître. Son passif extrêmement violent et le fait qu'il ait tué sa femme et l'amant de celle-ci ont fait que quand il est revenu en tant qu'esprit, il était dibbouk. Ca et le fait que ses pulsions à l'égard de toute femme qui tromperait un conjoint sont terrifiantes. Ses fantasmes les plus sombres massèrent dans son esprit et c'est tout sauf sympa à voir. Sa relation avec les médiums a souvent été entre blanc et noir, une palette infinie de gris. Il y a les médiums qu'il adore emmerder à volonté, tourmenter, rendre fou et les autres. Sophya fait parti des autres, par exemple. Ce genre de médium qui lui apporte suffisamment d'humanité pour qu'il soit stable quelques semaines. Histoire que durant ce court laps de temps, il ne tourmente personne.

Car tourmenter reste une de ses activités favorites et il ne se gêne pas pour torturer psychologiquement les humains et leur apparaître. Surtout quand il est face à certaines personnalités qui peuvent lui rappeler sa femme ou l'amant de celle-ci. Mais en général, il ignore un peu les humains, sauf s'ils ont quelque chose qui peut réellement intéresser le Dibbouk.
ÂGE DE L'ESPRIT:
AVIS SUR LES ESPRITS:
AVIS SUR BELAAM: Pour et oui, Alastair l'a rejoint mais plus pour éviter les foudres qu'un réel intérêt.
AVIS SUR L'ASSOCIATION DE MEDIUMS:
ET LA MAGIE DANS TOUT CA?: dîtes nous en un peu plus sur vos croyances à la Nouvelle Orléans

Caractère
Ce qu'on peut dire en premier d'Alastair, c'est qu'il est dangereux. Mais qu'est-ce réellement la dangerosité ? Le dictionnaire définit ceci en disant : caractère de qui est dangereux. Mais cela ne répond pas à la question, Alastair lui, a la réponse. La dangerosité est la capacité à manipuler quelqu'un pour qu'elle devienne sa victime. Car après tout, le Dibbouk adore la violence, il l'adule, se baigne quasi dedans. Furfur, même en étant humain et surtout en tant qu'humain, était extrêmement colérique. Des colères qui mènent toute personne proche de lui à la mort. Après tout, il ne connaît pas la pitié. Il est sans foi ni loi, sans Dieu ni maître. Son seul Dieu restera probablement Epona dans son for intérieur. Déesse des chevaux mais à part ça, il ne croit pas vraiment en Dieu. Si, il y a son Dieu, un Dieu présent, silencieux mais Alastair n'a jamais su croire en lui. Et pis bon, vu son statue de Dibbouk, il faut croire qu'il remplit tous les critères pour être dans cette catégorie. Alors Dieu, aux orties.

Menteur éhonté, il ne sait que raconter des craques. Même si aujourd'hui, il ne parle pas vraiment à grand monde. Il semble être sans arrêt en représentation, son rôle de bon méchant Dibbouk, il le tient à la perfection. Cleptomane, quand il est dans des hôtes, il ne cesse de voler des choses, de les accumuler, de les étudier, de les utiliser pour ses fantasmer. Ses fantasmes, parlons-on en mais pas trop. Il est extrêmement cruel et adore la torture autant mentale que physique. Sa manière d'interagir avec les autres n'a jamais été quelque chose de bien facile pour lui. Il avait plus de facilité avec les chevaux que les humains. Même s'il faut avouer qu'il est particulièrement charmeur quand il s'y met, son physique aidant. Mais c'est un homme qui vit passionnellement les choses. Si passionnellement, que cela le brûle jusqu'à la moelle. Il vit les choses à l'extrême, jusqu'à en devenir complètement fou, ce qui lui a coûté justement la vie ce côté extrême.

Alastair reste extrêmement intelligent, ayant compris que se loger dans des objets de valeur sentimentale aide à mieux piéger ses victimes. Ses victimes, il les tourmente, souffle le chaud et le froid. Il est cynique, n'hésitant pas à se moquer des gens de cette époque. Ils ne valent pas une cacahuète par rapport aux gens de son époque à lui. Furfur n'est pas forcément un nostalgique, et ces rares moment disparaissent sous sa couche d'extrême violence. Une violence qu'il utilise comme bouclier ou couverture selon les moments. Il s'en pare d'une manière spectaculaire. Sa patience n'a pas de limite et autant ne pas le pousser à bout car cela devient très moche. Mais derrière tous ces défauts, cette violence et cette extrême sensibilité, se cache encore un brin d'humanité. Une humanité qui n'apparaît quasi plus et dont il a même jusqu'à oublier l'existence. Il semble vivre dans son propre monde, détaché de toute réalité des choses.

En bref, Alastair n'est pas un Dibbouk simple mais complexe qui préfère cacher la vérité plutôt que de la dévoiler. Il reste et restera à jamais un tueur compulsif. Tuer est semblable à respirer pour lui et plus cela est moche après, plus il fantasme. Écraser ses victimes, les mutiler ? Aucun problème !

Histoire
L'encolure plié, le cheval mâchouillait son mors tandis qu'il dansait au son de la musique classique. Il piaffait avec élégance, le lipizzan laissait ses muscles se tendre et se détendre aux demandes de son cavalier. Une première tâche de sang tomba sur le sol, plop, le son de Vivaldi s'intensifia. Soudainement, l'étalon se cabra, son avant-main fouetta l'air tandis qu'il poussa un hennissement déchirant. Le corps choya au sol et Rebecca Sullivan apparue dans toute sa beauté de morte. Mais avant de voir un cadavre, il faut comprendre une vie, une passion.

Sullivan, immigrés irlandais juifs qui fuyaient une Irlande en crise au dix-huitième siècles. Plus de terre mais ils subissaient aussi le racisme de la communauté non juive. L'Amérique du nord et ses colonies étaient promesses de vie. Ils s'installèrent à la Nouvelle-Orléans. La famille descendait d'une succession d'écuyer connue et reconnue. Le nom Sullivan avait provoqué l'admiration en Irlande. Ici, il fallait tout recommencer depuis le début. Père Sullivan avait sept enfants à nourrir et il passa par le métier de cocher avant de redevenir un écuyer confirmé dans une grande écurie. Les années s'écoulèrent et se défirent. Un bruit de sabot retentit dans l'écurie tandis qu'Alastair tenait par son licol le puissant pur-sang anglais. Une bête bâtie pour la course, les naseaux dilatés, le cheval poussa un hennissement retentissant qui fit sortir les têtes de ses comparses. Le palefrenier flatta la bête qui s'apaisa quelque instant avant de faire un écart et de le défier ouvertement.

Chacun savait que le cheval avait la force de l'envoyer voler, mais l'homme et la bête savaient que c'était une histoire de collaboration et de confiance. Le regard de la bête croisa celui de l'homme et le cheval s'apaisa. Alastair était tout à fait effroyable avec les êtres humains, ne trouvant qu'une certaine stabilité mentale que chez les chevaux. Il attacha fermement la bête avec un nœud coulant et se mit à le harnacher mais tout d'abord, pansage. Sa brosse caressait la robe noire ébène qui semblait avoir des reflets inédits. Le cheval abaissa la tête, ronfla des naseaux et souleva un sabot, visiblement heureux. Alastair sentit un regard se poser sur lui et tout naturellement, son regard clair se leva et il vit une femme. Elle était belle comme aucune avant elle. Il en avait vu des femmes mais celle-ci provoqua un sentiment inédit en lui. Un sentiment sauvage, un sentiment passionnel mais tout aussi destructeur. Alastair se figea dans son pansage tandis que la femme s'approcha et flatta sa bête.

« Black Beauty semble vous apprécier. Moi c'est Rebecca.
- Alastair, madame.
- Quel beau prénom. »

Et quelle belle cavalière. L'homme resta silencieux tandis qu'elle posa sa main sur la sienne et l'aida à panser la bête mais c'était autre chose qu'ils faisaient. Il fallut quelques jours seulement au duo pour se former et s'aimer passionnément dans les écuries. Rebecca était une femme flamboyante et la passion des chevaux les réunissait. Alastair était un flambeur, un charmeur, mais il était violent. Rebecca était comme lui, elle cachait son jeu derrière ses manières nobles mais face à lui, impossible de mentir. Leur passion dévorante débuta et tout autour d'eux semblait brûler. Ils eurent bientôt un logement, Alastair tentait de la couvrir de bijous avec son maigre salaire de palefrenier. Mais le plus beau cadeau pour la femme restait de voir son compagnon monter à cheval. Pour une raison obscure, il avait préféré faire palefrenier qu'écuyer, un métier tout à fait différent.

Alastair junior naquit en plein moins d'août. Le petit, étrangement, souda et détruit en même temps le couple. Chaque jour devint l'enfer, chaque jour devint passion, violence. Les chevaux entendaient les disputes, Alastair et Rebecca ne semblaient s'entendre qu'à cheval et au lit. Junior mourut deux ans plus tard d'une pneumonie et sa mort annonça la mort de ses parents.

Une bagarre, des verres et Rebecca cracha à la tête de l'amour de sa vie que jamais Alastair n'avait été son fils. C'était le fils d'un autre. Alastair la frappa jusqu'à la rendre folle, il lui fit des sévices qui ne se prononcent pas. Il la tortura jusqu'à qu'elle avoue qui était le véritable père. Il la tua, la mutila et se rendit chez l'amant. Il le massacra, en fit de la bouillie.

Plop, le sang coulait. Alastair observait le cadavre de Rebecca au sol tandis que le cheval revenait vers lui. L'homme toucha la bête, enfouit sa tête dans sa crinière crème et attendit. Quelques heures plus tard, on l'arrêta. Quelques jours plus tard, il fut jugée et condamné. On pendit Alastair Noam Sullivan pour rendre justice. Il devint un dibbouk, sa passion dévorante et sa rage furent ses moteurs...

Le cheval s'écarta légèrement, s'agitant, il le sentait alors que les humains ne voyaient pas. Alastair s'arrêta devant lui, tendit sa main mais ne pouvait le toucher. Les siècles commencèrent à s'écouler, il devint Furfur et se mit à posséder des gens. Des gens souvent en rapport avec les chevaux ou alors, il en faisait des cavaliers. Mais souvent ces mêmes gens mouraient par suicide, des drôles d'histoire, des drôles d'instant.

Plop, le cheval replia ses membres et s'allongea, le souffle rauque. La main le caressa une dernière fois, attrapa un couteau et Furfur égorgea son hôte. Le corps s'effondra comme un seul homme et le Dibbouk apparut. Depuis plus de deux siècles il faisait ce jeu et refusait de se lasser, il n'arrivait tout simplement pas à se lasser. Alastair fit volte-face et disparut, mais pour combien de temps ? Car sa descente en enfer avait débuté avec Rebecca, mais elle finirait avec qui ?

Test RP
Les mains se resserraient autour du cou tandis que la pauvre femme tentait de lui échapper. Elle s'étranglait. Alastair la regarda calmement tandis qu'elle se griffait le visage comme une démente, hurlant.

« Cela ne t'aidera pas, je te le dis. »

Il s'approcha calmement d'elle et fit bouger un vase qui se brisa. La femme hurla comme une démente et alla se cacher dans un coin, n'en pouvant plus de l'attrait qu'Alastair créait en elle. Il soufflait le chaud et le froid pour lui faire peur. Le dibbouk se rapprocha d'elle et rêva de la toucher sans le faire. A travers elle, il entrevoyait son passé. Il revoyait Rebecca, la passion, la violence, les chevaux. L'odeur de l'écurie lui manquait, il voulait revivre cela. Cette fois-ci, sa victime ne réussit plus à lutter lors du rituel de possession. Furfur resta à genoux de longues minutes avant de se redresser et de détendre et retendre le corps de la femme. Il s'approcha d'un miroir et se regarda. Il fit un sourire mauvais et s'habilla de manière la plus sexy qu'il le pouvait. Faisant de cette timide, une vraie amazone. Les gens dans la rue la dévisagèrent. Le monde semblait appartenir au Dibbouk tandis qu'il se rendit au manège qu'il avait repéré. Il faisait nuit mais il fut facile de s'introduire dans les lieux.

Les chevaux se mirent à s'agiter tandis que le corps souple de son hôte se laissait faire, se pliait. Furfur se balada entre les différents boxes, toisant les bêtes pour trouver la plus belle, celle qui lui rappellerait le mieux les souvenir. Il s'arrêta devant une bête légèrement trapu mais d'un gris qui lui rappelait le cheval sur lequel il avait mis le cadavre de Rebecca. Un sourire mauvais tordit la bouche fine de la femme et Furfur prépara la bête avec soin. Il savait les gestes par cœur. Il avait le cheval dans la peau, ce n'était même plus une réflexion de faire tout cela, c'était un prolongement de son être. Il termina de harnacher le hongre et sortit calmement du box, suivit par la bête. Le cheval ondulait derrière lui, élégant hongre qui devait avoir un certain pedigree. Alastair s'installa en selle et commença un échauffement en douceur dans la semi-obscurité. Le cheval était hyper sensible et prévoyait les moindres demandes de son cavalier.

Le Dibbouk sentit son essence-même se détendre. Sa rage semblait fondre comme neige au soleil. Néanmoins, quelqu'un brisa toute cette harmonie.

« Qu'est-ce que vous foutez ?! »

Froidement, il tourna la tête et toisa le vigile. Une idée malsaine naquit en lui et il pressa les flancs de sa bête pour l'élancer au galop. Le vigile n'eut pas le temps de comprendre que le cheval lui marcha dessus. Furfur força l'équidé à tournoyer sur le corps jusqu'à qu'il n'ait que de la bouillie de cet être. Alastair arrêta le cheval, descendit de selle et s'accroupit devant la mélasse qu'il toucha du bout de l'index.

« Je monte à cheval, espèce de connard. »

Siffla-t-il avec toute la rage du monde. Il termina sa petite séance d'équitation sans se stresser, ramena sa bête dans son box, la brossa, la félicita et partit. On ne retrouva jamais Julie Marchand, disparue depuis le meurtre du vigile de l'écurie. On ne retrouva que le cheval couvert encore d'un peu de sang. Mais le corps de la pauvre Julie pourri dans un ravin tandis que Furfur en ce moment connaît une vague de calme. Jusqu'à la prochaine crise, jusqu'au prochain désir de remonter à cheval et de détruire les autres. Car tout allait de paire, ses émotions en cacahuète, l'amour des chevaux et sa passion destructrice des femmes. Il était un esprit mais cela ne l'empêchait pas de les désirer pour mieux les tuer.

Hors Jeu
PSEUDO:
ÂGE: 20 ans
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU BM?: J'ai aidé à la conception
DEPUIS COMBIEN DE TEMPS VOUS RP?: 6 ans
VOTRE IMPRESSION SUR LE FORUM?: Il est sympa
DESIREZ-VOUS UN PARRAIN/MARRAINE?: Moi-même !
FREQUENCE DE CONNEXION? Tous les jours
UN COMMENTAIRE?: Cookie et chocolat
NOTA BENE: Validé, vous pourrez intervenir dans les RP's d'autres joueurs. Avant, vérifiez bien que les joueurs ont accepté cette possibilité et envoyez-leur un MP pour les prévenir.
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Dernière édition par Alastair N. Sullivan le Dim 15 Sep - 12:06, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Alastair Noam Sullivan - J'aime faire mal, il est où le problème ? Alastair Noam Sullivan - J'aime faire mal, il est où le problème ?  EmptyVen 13 Sep - 20:45

Han ... on en mangerait du Alastair * sort *
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MessageSujet: Re: Alastair Noam Sullivan - J'aime faire mal, il est où le problème ? Alastair Noam Sullivan - J'aime faire mal, il est où le problème ?  EmptySam 14 Sep - 15:03

Bienvenue à Furfur *_*
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MessageSujet: Re: Alastair Noam Sullivan - J'aime faire mal, il est où le problème ? Alastair Noam Sullivan - J'aime faire mal, il est où le problème ?  EmptySam 14 Sep - 17:50

Furfur... Ça me fait marrer à dire XDD *c'est pas vrai, se le répète pas (a)*

Bonne fiche, vilain esprit que je respecterais seulement si je reçois des bonbons que j'ai choisis **
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MessageSujet: Re: Alastair Noam Sullivan - J'aime faire mal, il est où le problème ? Alastair Noam Sullivan - J'aime faire mal, il est où le problème ?  EmptySam 14 Sep - 18:15

Proute toi ! XD
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MessageSujet: Re: Alastair Noam Sullivan - J'aime faire mal, il est où le problème ? Alastair Noam Sullivan - J'aime faire mal, il est où le problème ?  EmptySam 14 Sep - 18:17

Furfur ♥
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