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Cateline / Choria - By the devil's law

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MessageSujet: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law EmptyJeu 8 Mai - 13:52

Cateline Sorel
Slogan Slogan Slogan

Cateline / Choria - By the devil's law Ivhagk
GROUPE: Esprits
ÂGE: 336 ans
DATE DE NAISSANCE:
LIEU DE NAISSANCE:
PARTICULARITES:

NOM D'ESPRIT & CLASSE: Choria - Dibbouk
AVIS SUR LES ESPRITS:
AVIS SUR BELAAM: Fervente partisane
L'AVEZ-VOUS REJOINT?:
AVIS SUR L'ASSOCIATION DE MEDIUMS:
ET LA MAGIE DANS TOUT CA?: dîtes nous en un peu plus sur vos croyances à la Nouvelle Orléans

Caractère
La colère l’accroche à ce monde. La colère lui permet de se mouvoir, jour après jour, nuit après nuit, dans une enveloppe intangible. La colère est tout ce qu’il lui restait au fond des tripes lorsqu’elle fut arrachée à la vie. De pure folie, sa colère est devenue rage puis, au fil des années, elle s’est teintée de machiavélisme. Jeune esprit, Choria ne faisait pas dans la subtilité, s’en prenant sauvagement à ceux qui l'avait arrêtée et mise en cellule. Mais son impétuosité, son besoin irraisonné de faire mal lui coutèrent plusieurs retours à la case départ. Choria, l’esprit pugnace qu’est devenu Cateline, a bien appris ses leçons. Aujourd’hui, le Dibbouk reste avide de vengeance, et se nourrit des querelles humaines, manipulant les âmes fragiles des vivants pour les conduire au bord de la rupture, et leur apporter le dernier coup de pouce, qui les fait basculer irrémédiablement. Mais elle s’est assagie, choisissant ses victimes avec davantage d’application, ne fonçant plus tête baissée vers la torture facile et sans gloire. Du caractère de sa vie passée, il reste des brides de désespoir et son désir inassouvi de vengeance. Cateline ne pardonnera jamais ce qu’on lui a fait subir, car oublier serait rejeter ce qui a fait d’elle ce qu’elle est aujourd’hui. D’ailleurs, contrairement à son passé humain, elle a cessé de subir. De la femme paumée, qui s’imagine indépendante mais récolte des problèmes la renvoyant dans le giron d’un proxénète, d’un geôlier ou d’une sœur, il ne reste plus rien. Ses souvenirs guident néanmoins le choix de ses victimes. Durant des années, elle a fait souffrir les sœurs qui avaient la fâcheuse tendance à lui rappeler ce lien qui l'unissait à la sienne et qui, au bout du compte, lui avait coûté la vie. Encore aujourd'hui, elle voue une haine farouche aux femmes qui ont le malheur de bien s'entendre avec leur sang. Les hommes violents et impunis ont également été l’un de ses chevaux de bataille. Les rendre fou, et les pousser à s’auto mutiler a longuement occupé son quotidien. Elle apprécie également les caractères forts, mais non appréciés à leur juste valeur. Lorsqu’elle les possède et leur permet d’assouvir la soif de vengeance qu’elle s’est appliquée à exacerber dans leur cœur, c’est également sa revanche qu’elle prend. Et elle en retire une satisfaction personnelle et sadique. Elle distille l’horreur et la violence à travers ses victimes, partant de petits rien pour finalement réaliser de grandes choses, spécimens de démence et de férocité.

Histoire
En 1684, Cateline avait 6 ans lorsqu’elle comprit le monde dans lequel elle était née. Toutes les femmes qui l’entouraient et qui se comportaient de manière arrogante dans leur environnement cloisonné, devenaient de véritables chatons lorsqu’un homme faisait irruption dans la demeure. Une maison close. Cateline n’avait que 6 ans lorsqu’elle découvrit de quelle manière sa mère subvenait à ses besoins. Elle réalisa dans le même temps le secret de ses origines. Un secret bien gardé, des mots imprononçables, une erreur qu’il n’avait pas été possible de corriger. Sa mère n’avait pas les moyens de recourir à une faiseuse d’ange, ces artistes de l’avortement. A l’époque, seules les filles de bonne famille pouvaient s’offrir le luxe de s’alléger d’un tel embarras. Cateline n’osa jamais formuler la question : si elle en avait eu les moyens, sa génitrice l’aurait-elle arrachée à son corps avant même la naissance ? Et puis finalement, une nouvelle arrivée détourna Cateline de ses questionnements. A quoi bon se demander si son existence ne tenait qu’à un fil, si sa vie aurait pu être différente ? Elle était vivante, et voilà tout ce à quoi elle pouvait se raccrocher, les soirs de doute et les matins difficiles. Ca, et la présence de sa petite sœur à ses côtés. Le secret insidieux de la conception de Gisèle n’en était plus un désormais pour Cateline. Et si elles ne pourraient jamais être plus que des demi-sœurs, l’aînée ne la considéra jamais comme telle. Gisèle lui offrit ses premiers sourires, ses premiers mots, et l’enchaîna ainsi à elle sans lui laisser la chance de pouvoir résister.

Des années après la mort de leur mère, les gamines Sorel continuèrent à se serrer les coudes. Plus âgée, Cateline intéressait davantage de clients, mais n’hésitait pas à partager ses gains avec Gisèle. Et lorsque les autorités commencèrent à leur créer des ennuis, Cateline se sacrifia, pour laisser le temps à sa cadette de prendre la fuite. Elle ne regretta pas un instant son geste. Si elle devait croupir jusqu’à la fin de ses jours entre quatre murs miteux, elle était prête à endurer ces tourments, tant qu’elle savait Gisèle en sécurité. Mais cet état d’esprit ne put lui réussir bien longtemps. Sa sœur fut arrêtée dans l’année qui suivit, et Cateline n’eut alors de cesse de fomenter leur évasion. Mais elle ne put mettre son plan à exécution, car l’an de grâce 1706 sonna le glas de leur exportation vers les terres humides de la Nouvelle-Orléans. Les femmes envoyées là-bas étaient pardonnées de leurs pêchés en échange de la procréation de marmots dont elle pouvait honorer la colonie. Peu de femmes partaient volontairement pour ce type de colonie minable qui ne semblait alors pas vouée au moindre avenir. Ce faisant, la surpopulation d’hommes les privaient de tout réconfort ainsi que de l’espoir de jouir un jour d’une joyeuse descendance. Mais Cateline avait déjà 28 ans, et malgré le nombre d’hommes solitaires qui fourmillaient dans la colonie, elle abandonna bien vite l’espoir de fonder une famille. Elle retomba alors dans ses anciens vices, reprenant la vie de débauche qui lui convenait si bien et qui représentait, finalement, tout ce dont elle était capable et tout ce qu’elle pouvait apporter à un homme en manque de compagnie.

Gisèle avait eu plus de chance. Elle fut mariée sous peu de temps à un bourgeois prometteur de la colonie. Par égard aux nombreuses années que lui avait dédiées son aînée, Gisèle lui fournit quelques billets qu’elle pouvait subtiliser aux réserves conjugales sans éveiller les soupçons de son époux. Mais la cadette avait pris soin de cacher les aspects obscurs de son passé, et elle prenait des risques à trafiquer avec une sombre fille de joie. Peu à peu, les anciennes gamines Sorel s’éloignèrent. La défiance de sa petite sœur, pour laquelle elle avait sacrifié jusqu’à ses rêves, abima son âme. Durant les premières années, Cateline continua à espérer que Gisèle ferait amande honorable et qu’elle finirait par se souvenir de cette sœur qu’elle avait abandonnée à un destin sordide. Mais elle dut se rendre à l’évidence : Gisèle se fichait bien de son sort. Depuis la naissance, elle avait profité allégrement de l’assistance que lui prodiguait Cateline, et alors que la chance tournait en sa faveur, elle négligeait celle qui avait toujours eu à cœur de rendre son quotidien plus doux. La rancœur et l’amertume se faufilèrent dans son cœur et corrompirent toutes traces de la générosité qui l’alimentait. Le monde s’était retourné contre elle depuis ses premiers cris, mais la présence de Gisèle avait adouci l’aigreur dans laquelle la plongeait régulièrement son quotidien. Aujourd’hui, cette aigreur était devenue pleine et entière. Et puisque la prostituée n’allait pas en rajeunissant, les ennuis se multiplièrent. Son proxénète n’avait pas à se plaindre, car la Nouvelle-Orléans offrait une clientèle abondante. Il avait pratiquement la mainmise sur le marché local, aussi lorsqu’il estimait que l’une de ses filles ne faisait plus l’affaire, car elle risquait à court terme de faire sombrer ses bénéfices, il n’avait aucun remord à s’en débarrasser. Et Cateline valsait dangereusement avec la ligne rouge. Ses gains ne suffisaient plus à absorber ses dépenses quotidiennes, et elle devait une quantité d’argent considérable à l’homme qui pouvait décider d’un claquement de doigt de sa mise à la retraite. Or la prostitution était tout ce qu’elle connaissait, tout ce à quoi elle avait été formée, le seul art dans lequel elle excellât, son âge n’y changeant rien. Mais son proxénète ne la sauverait pas pour la beauté de l’art. Seuls les profits martelaient son petit crâne chauve.

Il ne restait plus qu’une seule échappatoire à Cateline. Et bien qu’elle n’aimât pas le geste, elle en fut réduite à se présenter sur le seuil de la porte de Gisèle. Elle ne put que noter à quel point la demeure avait prospéré, une aile ayant été ajoutée à l’est du bâtiment, et le jardin s’étant prodigieusement élargi. Malgré les réticences qu’elle ne parvint pas à dissimuler, sa demi-sœur la fit entrer. Leur retrouvailles ne se révélèrent ni plaisantes ni chaleureuses. Les mondanités ne durèrent qu’une fraction de seconde, avant que les reproches et la cause de la présence de Cateline n’arrivent sur le tapis. Le ton monta, et les éclats de voix finirent par attirer le bourgeois grassouillet de Gisèle. Cette dernière eut la présence d’esprit de soustraire l’origine des bruits qu’avaient surpris son époux à sa vue. Saoul comme un cochon, l’homme s’échauffa rapidement sous les explications peu crédibles de sa femme. Cateline avait écouté l’argumentaire de sa cadette avec force exaspération. Elle se demandait bien comment elle avait réussi à séduire cet ignare et, par-dessus tout, à lui cacher tout ce temps son passé, tant elle mentait affreusement mal. Cateline lui avait toute sa vie mâché le travail, volant, usurpant, dissimulant pour deux.

Mais ses pensées furent coupées par le son claquant de la main du bourgeois contre la joue de Gisèle. L’agressivité monta irrésistiblement en Cateline, qui surprit par les brèches de la porte du cagibi où elle était cachée les gestes déplacés du mari. Il entamait la fustigation en règle de son épouse, et Cateline ne put que soupçonner qu’il ne s’agissait pas d’une première. Mais cette fois-ci, l’aînée était témoin, et malgré la déception causée par sa sœur, elle ne pouvait pas permettre qu’elle souffre de la main de quiconque. Poussant brutalement la porte qui la dissimulait, elle sauta sur le bourgeois, et un coup bien placé le projeta en arrière. Son crâne heurta malencontreusement une table basse ouvragée en contrebas, avant que son corps ne roule sur le sol, inerte. Horrifiée, sa sœur hurla, menaçant de rameuter l’ensemble du quartier. Cateline la lorgna méchamment, l’intimant au silence. Mais Gisèle lui répondit par un regard apeuré, avant de se précipiter à l’extérieur de la demeure. Cateline resta un instant immobile, et son attention se reporta sur le cadavre. Devait-elle se défendre de l’avoir tué intentionnellement ? Il ne s’agissait, après tout, que d’un accident. Mais elle ne pouvait réprimer la satisfaction qu’elle ressentait à observer son cadavre. Elle n’avait pas voulu mettre fin à ses jours. Mais n’était-ce pas ce qu’elle avait toujours voulu, depuis le jour où il lui avait volé sa sœur ?

Quelques heures plus tard, les autorités lui tombèrent dessus. Rembourser son proxénète devint alors la dernière de ses préoccupations. Gisèle l’avait trahie, en la balançant aux représentants de l’ordre sans le moindre remord. Après tout ce qu’elle lui avait apporté, et alors même qu’elle avait tout sacrifié pour ses beaux yeux, sa demi-sœur lui plantait froidement un couteau dans le dos. Et pour quel motif ? Pour l’avoir libéré d’un ivrogne violent ? Se pouvait-il, finalement, que sa sœur ait aimé davantage ce salop que son éternelle bienfaitrice ?

Jusqu’à son dernier souffle, la haine l’enveloppa. Ce monde ne pouvait pas la laisser partir ainsi. Il ne pouvait pas l’avoir laissé être mise au monde dans le désaveu total, puis survivre en plaçant la vie de sa sœur au-dessus de la sienne propre, pour finalement faire de cette générosité la raison même de sa condamnation. Elle était bien incapable de mettre des mots sur le ressentiment que lui inspirait Gisèle. Mais, plus que tout, elle haïssait le lien qui l’avait uni à elle et l’avait enchaîné à ses moindres désirs dès le premier regard déposé sur le petit être innocent qu’elle appela dès lors « sœur ».

Ses sentiments brûlants lui permirent d’échapper à la mort, ou plutôt de la transcender. Ce monde lui avait infligé trop de douleurs pour qu’elle le laisse perdurer ainsi. Redoutable et sanguinaire, Cateline s’appliqua dès lors à souiller le lien qui unissait les sœurs entre elles. Elles devaient expérimenter, comme ce fut son cas, à quel point ce lien était médiocre et fragile. Elle ne passait qu’un instant à observer ses victimes, ne réservant pas son jugement plus de quelques infimes secondes. Elles méritaient de souffrir, parce qu’elles étaient folles de croire à la solidarité et à l’unité. Ce monde était cruel, et la solitude était le seul critère valable qui puisse le régir. La solitude et la peine de ne jamais pouvoir combler le vide qu’elle creusait dans les âmes.

A ce titre, Cateline devint le bras armé de la solitude, creusant les âmes, s’y installant outrageusement en écartant au besoin, pour se faire une place, tous les bons sentiments et jusqu’à la dernière trace de moralité. Les meurtres qu’elle commit, par l’entremise des victimes qu’elle possédait, furent sanglants et prodigieux. Toute la beauté d’une arme blanche taillant la chair d’une sœur se révélait dans les éclats de sang qui venaient peindre d’une teinte vermillon les pourtours de la scène du crime. Après avoir poussé à l’acte les pauvres femmes, Cateline les délaissaient, leur permettant d’observer leur œuvre, et d’inonder les parages de leurs hurlements macabres. La délectation irradiait de Cateline, qui n’en avait jamais assez. Ses crimes devinrent aussi sanguinaires que nombreux et épars. Il était impossible de savoir où elle allait frapper, car elle-même ne le savait pas. Ses actes n’étaient guidés que par le tourment, la déception et la violence. Elle avait besoin de faire mal, car à l’instant où ses victimes atteignaient le paroxysme de la souffrance, elle s’en nourrissait et s’en délectait, au point d’en trouver, pour quelques instants au moins, une forme de réconfort. Mais celui-ci était aussi perçant que fulgurant. Et face aux crimes dont elle était la maîtresse d’œuvre, elle demeurait finalement stoïque, incapable de ressentir de paix véritable, car toute voie vers le repos lui avait irrémédiablement été arrachée par une sœur trop ingrate.

Le premier medium à la repérer fut un prêtre protestant, que les nombreuses familles de ses victimes ne cessaient d’interpeller. L’esprit de Cateline était devenu un danger pour la populace et pour son culte. L’exorciser lui demanda un bon timing et une moindre dose de jugeote. Mais l’ancienne prostituée n’y trouva aucun réconfort. Le medium qui lui permettrait de trouver la paix n’était pas encore né, et ne naitrait sans doute jamais. Avec application, Cateline retrouva son chemin vers le monde des vivants. Les sœurs continuaient à l’obséder, et elle ne pouvait s’empêcher de les tourmenter par des actes aussi sanglants qu’inexplicables. Le même medium la renvoya chez les morts, et Cateline se mit à ressentir une franche aversion pour lui, saupoudrée d'une once d'envie meurtrière. Malheureusement pour elle, la troisième fois où elle s’extirpa du monde des esprits pour revenir hanter les vivants, le prêtre était d’ores et déjà passé de vie à trépas. Quelle honte de ne pas avoir pu elle-même accélérer le trépas. Elle put néanmoins féliciter le medium pour une chose : il avait passablement entamé son impétuosité. Pour s’être fait exorciser à deux reprises par ce medium tout à fait médiocre, elle comprit qu’elle devait agir avec davantage de maîtrise et de calcul. Les méfaits sans lendemain lui procuraient une large dose de plaisir, mais ils ne calmaient pas son appétit, et l’exposaient à repartir sans cesse de la case départ. Or, l’esprit Choria ne pouvait permettre d’être traitée comme une âme futile et malhabile. Choria était devenu son nom d’esprit, et de dibbouk plus précisément. Et elle ne laisserait plus aucun humain ou medium le découvrir sans que ne s’en suive des tourments de la plus vive calamité, ainsi qu’une mort lente et sensiblement douloureuse.

La Nouvelle-Orléans devint son terrain de chasse privilégié. Au fur et à mesure des années, les mentalités évoluèrent, bien que quelques conservateurs se battirent pour que rien ne change. Ces conservateurs-là devinrent des proies qu’elle affectionnait particulièrement. La lente agonie des hommes violents devint également l’un de ses passe-temps. Et elle permit, sans doute un peu malgré elle, à la Nouvelle-Orléans d’évoluer. Les défenseurs du progrès ne cessèrent de se multiplier, tandis que les conservateurs fondaient comme neige au soleil, guetté par un mal étrange qui les rendait fous, et les poussaient finalement à attenter à leur propre vie. Les chiffres de la violence domestique diminuèrent également, et les femmes de La Nouvelle-Orléans gagnèrent en verve et en esprit combattif. Choria observa avec intérêt les grands combats comme les combats quotidiens de ces femmes, et notamment de celles que l’on avait toujours opprimé. Lorsque l’une d’entre elles obtenait gain de cause, elle s’en félicitait, car elle avait de près ou de loin participé à sa réussite, en possédant l’un de ses détracteurs. Puis venait l’instant de réflexion, où elle songeait qu’avec un petit coup de pouce du destin, elle aussi aurait pu mener à bien de grands projets. Et alors l’envie et la jalousie prenaient le pas sur tout sentiment d’exaltation. Il fallait alors que quelqu’un paie. Choria choisissait alors sa victime avec force précaution, privilégiant l’entourage de la femme qui avait réussi grâce à elle. Par ce coup porté à son cœur, elle lui rappelait que l’on n’obtenait jamais rien sans rien. Elle leur rappelait à toutes, que Choria ne donnait jamais sans reprendre l'équivalent.

Les décennies s’écoulèrent, et la lubie de Cateline pour les sœurs ne parvint jamais à lui passer. En 2004, des jumelles attirèrent particulièrement son attention. Elles étaient si différentes, et l’une comme l’autre n’avait rien fait pour mériter l’assentiment ou le désaveu dont elles tiraient parti. Elles parvenaient finalement à s’accommoder de leurs vies respectives mais cela, l’œil acéré de Cateline ne pouvait le supporter. Jillian fut une victime idéale. L’adolescente la rejeta d’abord, mais Cateline se montra méticuleuse et terriblement maligne. La rage de Jillian était un feu ardent qui attirait les plus bas instincts de Choria, qui s’imagina très vite tout ce qu’elle pouvait obtenir d’elle. En la possédant, Cateline ne fit que s’engouffrer dans les mauvais travers que la jeune fille possédaient déjà, les développant, leur donnant de la substance et de la voix. Jillian devint très rapidement dépendante des conseils que Cateline lui susurrait à l’oreille, de cette force et du soutien qu’elle lui donnait à découvrir. Cateline se prit à apprécier le manège qu’elle édifiait, et le rôle que lui permettait d’endosser la brunette. Peu à peu, elle prit l’ascendant sur elle, jusqu’à prendre possession de ses muscles et à pouvoir guider ses gestes. La sœur jumelle de Jillian connut les pires atrocités dont était capable l’esprit trois fois centenaire. Mais Cateline n’abandonna pas Jillian tel qu’elle en avait l’habitude concernant ses victimes. Elle ne la laissa pas seule face à l’horreur de ses agissements, pour la voir sombrer dans la détresse la plus totale. Non. Elle continua à la posséder, lui rendant néanmoins la maîtrise de son corps, et reprenant sa place d’esprit mystificateur, lui glissant à l’oreille des paroles tantôt réconfortantes, tantôt accablantes. Jillian avait en partie pris part à l’assaut, elle n’avait pas réussi à arrêter Choria, car sa volonté avait failli. Cela, Cateline le lui agita largement sous le nez. Mais elle ne pouvait se résoudre à laisser Jillian en proie au doute. Quelque part, elle avait dut s’y attacher, à cette petite humaine qui luttait contre tout et contre tout le monde. Elle tenta de la calmer, de l’orienter vers la raison. Sa sœur avait mérité son sort. Elle n’avait fait que rééquilibrer les chances entre elles. Mais le soutien indéfectible de Cateline ne lui suffit pas. Jillian avoua, et tenta d’expliquer aux autres les raisons de son geste, sa « possession ». L’esprit ne put plus rien pour elle lorsque l’internement fut décidé. A contre cœur, Cateline l’abandonna. Et pour la première fois, elle ne resta pas à observer les tourments de sa victime qui retrouvait toute sa conscience.

Après le passage de l’Ouragan, nombre de famille se retrouvèrent dans la détresse. Cateline erra entre ces familles afin d’étendre leur peine et d’augmenter leur terreur. Elle ne parvint cependant pas à s’en amuser bien longtemps. Et il lui fallut alors trouver une nouvelle lubie. Elle erra longuement parmi les vivants, et les années qui s’écoulèrent furent davantage centrées sur l’observation. Comme elle l’avait fait entre 1805 et 1820, lorsque la piraterie, la traite d’esclave et l’intérêt des anglais étaient à leur comble, ou encore dans les années 30 puis 60, Cateline se donna quelques années pour observer les évolutions de la société et peaufiner son jeu. Car un esprit aussi redoutable ne pouvait jamais se passer de ces phases d’observation, sans quoi ses tentatives échoueraient faute d’avoir été suffisamment corrigées. Car Cateline était loin de sous-estimer les humains sur cet aspect, elle savait à quel point ils étaient capables de s’adapter, leur vie étant si ténue et fragile. Les esprits ne pouvaient en retour faire l’économie de l’adaptation. Si Cateline avait si peu été exorcisée en 300 ans, c’était en partie grâce à cette capacité. Jusqu’en 2013, elle fit donc très peu parler d’elle, se contentant de quelques prises de choix, qui lui étaient nécessaires pour ne pas perdre la main et se repaître un tant soit peu du malheur des hommes.

Mais la tenue du salon de la voyance et du spiritisme l’incita à revenir sur le devant de la scène. De nombreuses failles furent alors ouvertes, et des esprits qui n’avaient parfois même pas eu la volonté d’arriver dans le monde des vivants s’y retrouvèrent débarqués plus ou moins brutalement. Cet afflux de nouveaux esprits marqua l’avènement de Belaam. Choria n’hésita pas longtemps lorsqu’il la contacta. Il savait ce que pouvait apporter à ses rangs la présence d’un tel esprit. Le chaos était le désir de Belaam, pas celui de Choria. A vrai dire, elle n’avait jamais spécialement été ni du côté de l’ordre ni du chaos. L’un ou l’autre lui importait peu, mais le chaos lui permettait d’obtenir plus efficacement ce à quoi elle aspirait : un parterre de victimes apeurées mais pugnaces, qu’elle prendrait soin de briser. La vision de Belaam était à tout le moins fort séduisante, et il faisait partie de ces esprits dont le charisme n’était plus à prouver, et que Cateline ne pouvait décemment pas négliger. Ceux qu’elle négligeait, en revanche, étaient les autres esprits affiliés à Belaam. Pour la plupart, ils ne lui arrivaient pas ne serait-ce qu’à la cheville. Les tolérer dans ses rangs ? Elle y concédait. Les laisser s’occuper des tâches les plus sordides ? Avec plaisir. Mais faire équipe avec eux ? Cela n’arriverait pas. Cateline serait éternellement un esprit solitaire. Et la révolte du monde d’en bas ne serait pas suffisante à modifier sa raison d'être.

Une raison d'être que 2014 expose cependant à de grands changements. Belaam s’est révélé sous sa vraie nature, et les esprits qui le suivent sont tenus d’engendrer un maximum de tourment et de chaos. Mais ceci n’est pas le seul changement. Une ancienne victime de Cateline a retrouvé sa liberté, et cette dernière nourrit une curiosité malsaine envers elle. Les esprits peuvent bien souffrir qu’elle, Choria, anciennement connue sous le nom de Cateline Sorel, se détourne un instant de la folie générale pour retomber dans son vice préféré : interférer dans la vie d’une sœur. Mais il n’est pas tant question de la tourmenter, Cateline souhaite obtenir autre chose de Jillian. Cette dernière peut tout à fait réussir là où elle, alors simple prostituée, a échoué. Elle peut parvenir à décrocher sa revanche, et mener sa vie telle qu’elle l’entend, en actrice de sa destinée, en prédatrice, et non en proie et en victime comme il en existe tant. Cateline n’a pas su le faire de son vivant, mais elle est bien décidée à permettre à Jillian de la surpasser.

Test RP
La brune progressait à travers les rues sinueuses du Quartier Français avec une détermination que Cateline était non seulement capable d’observer, mais également de sentir. Ce qui émanait de cet être vivant élancé et gracieux plaisait au dibbouk, au point qu’elle avait fini par jeter son dévolu sur elle. Voilà désormais une semaine qu’elle observait, guettait ses moindres faits et gestes, et se tenait à l’affut de toutes ses petites habitudes. Sa proie était classique, et Cateline ne la suivait pas pour les motifs habituels. Il n’y avait pas lien entre sœurs à compromettre, ni d’époux violent, et encore moins de grande action susceptible de faire progresser la cause des femmes. Cette victime n’en serait qu’à moitié une. Choria la posséderait, il n’y avait plus de doute à nourrir à ce sujet, mais loin des violences inouïes dont elle était férue. Cette brune aux grands yeux ensorceleurs n’était ni plus ni moins qu’un outil en devenir. Cateline la ferait sienne, entièrement, sans échappatoire possible, elle l’utiliserait à ses fins, l’usant jusqu’à la moelle, tirant tout le jus dont elle pourrait l’alléger, avant de la rejeter vers le monde des vivants, parfaitement nue et désœuvrée.

Les directives de Belaam étaient aussi limpides que les ambitions de Cateline. Et afin de mener à bien les unes comme les autres, l’esprit avait besoin d’un hôte. Des centaines d’années avaient permis à Cateline d’apprendre et de s’améliorer. Elle savait très bien désormais que le chaos n’était pas nécessairement apporté par un afflux massif de sang et de souffrance. Ses lèvres évanescentes se soulevèrent en un sourire torve à cette seule pensée. Le sang et la souffrance viendraient, au bout du compte. Un véritable carnage, digne des plus grands bains de sang de l’histoire. La St Barthelemy aurait des allures de fête champêtre en comparaison des réjouissances qui guettaient la Nouvelle Orléans. Mais tout venait à point à qui avait la patience et l’intelligence d’attendre. Cateline n’avait que du dédain pour le florilège de jeunes esprits débarqués en ville, qui se figuraient déjà être les rois de la montagne. Ils ne connaissaient rien du chaos véritable, et ne savait pas une seconde quel chemin emprunter pour l’atteindre. Son expérience lui offrait le droit, en revanche, d’être suffisamment arrogante à ce sujet. La manipulation, les tromperies, et les jeux de rôle faisaient partie intégrante de son quotidien. Et ils étaient les plus sûrs moyens de parvenir au chaos.

Choria pénétra sa victime et lui imposa une idée, férocement, profitant alors de l’instant d’égarement de la brune pour fouiller les moindres recoins de son esprit. Puis elle fit la morte, comme elle savait si bien le faire. Elle ne se rappela à elle qu’à la nuit tombée, une fois l'harassante journée de travail de sa victime achevée. Les vivants étaient toujours mieux disposés à accueillir les mesquineries et les récriminations lorsque la fatigue les tenaillait. Alors Cateline ne lui laissa aucune chance de résister. Elle la martela ainsi durant des heures, prête à la rendre folle, pour l'amener finalement à rendre les armes. Son expérience faisait de la possession des esprits faibles un véritable jeu d’enfant. En d’autres circonstances, Choria aurait été atterrée d’une si brève et fragile manifestation de résistance. Mais pour ses plans, c’était parfait.

Durant près d’une semaine, Cateline fut cette brune au maintien aérien. Mais elle n’en profita guère pour jouir de l’existence de l’autre, trop occupée à servir ses intérêts et ceux de Belaam. Les mains humaines lui permirent de réaliser des tâches auxquelles un esprit ne pouvait guère s’occuper sans attirer l’attention d’un piètre medium. Cateline noua des contacts, pour le compte de Belaam, parmi les humains. Des esprits suffisamment fous ou inconscients pour mériter la mort, et en cela l’accepter dans leur monde à bras ouverts. Elle tissa sa toile, jetant l’opprobre sur certains personnages emblématiques gênants, distillant allégrement les mensonges et les contre-vérités, contraignant sous la menace ceux qui avait eu l’audace de lui faire confiance. A tous, elle répéta : « N’essayez pas de m’identifier pour me faire chuter, vous perdriez votre temps. Ce corps ou un autre, je reviendrais le moment venu vous rappeler les termes de votre engagement. »

Et lorsqu’elle eut terminé sa mission, elle rejeta les restes de la brune sur les bords du Mississippi.

Hors Jeu
PSEUDO: Criquy
ÂGE: 23 ANS
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU BM?: Via Pub RPG Design
DEPUIS COMBIEN DE TEMPS VOUS RP?: 7 ou 8 ans
VOTRE IMPRESSION SUR LE FORUM?: Très beau visuellement, et un contexte original *o*
DESIREZ-VOUS UN PARRAIN/MARRAINE?: Non merci
FREQUENCE DE CONNEXION? 5 /7 en moyenne
UN COMMENTAIRE?: Je suis tombée amoureuse de ce scenario et le fait d’être un esprit change vraiment les possibilités rps, donc j’ai hâte de pouvoir exploiter tout ça !
AVATAR: Lena Headey

NOTA BENE: Validé, vous pourrez intervenir dans les RP's d'autres joueurs. Avant, vérifiez bien que les joueurs ont accepté cette possibilité et envoyez-leur un MP pour les prévenir.



Dernière édition par Cateline Sorel le Lun 19 Mai - 23:06, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law EmptyJeu 8 Mai - 14:17

Bienvenue à toi, si tu as des questions le staff est à ta disposition ♥ Ou Jilian vu que c'est la créatrice du scénari =D
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Sophya A. Turner
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Dons, capacités & petits plus:
Ma boutique de Voodoo:

MessageSujet: Re: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law EmptyJeu 8 Mai - 14:45

Bienvenue parmi nous Cateline! =D

Choria va s'avérer être redoutable pas vrai?^^ Courage pour la fichette, Alachou a déjà tout dit, n'hésite pas au besoin! =D

bienvenue
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MessageSujet: Re: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law EmptyJeu 8 Mai - 14:58

Je te le répète ici officiellement : BIENVENUUUUUUUUUE nemu

Tu sais que tu fais une heureuse ? ballon2 J'suis ravie que le personnage t'ait plu, en plus, le caractère promet o/ Je me demande juste si y'a pas une confusion quelque part (autant le demander tout de suite) :

Citation :
Durant des années, elle a fait souffrir les sœurs qui l’ont conservé enfermée à plusieurs reprises lorsqu’elle était humaine, et elle continue de leur vouer une haine farouche

Quand tu parles de sa haine envers les sœurs, tu penses aux religieuses ou aux sœurs sœurs ? (Y'a confusion dans mon esprit xDD)

Comme je te l'ait dit, harcèle-moi si t'en ressens le besoin  pervers 
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MessageSujet: Re: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law EmptyJeu 8 Mai - 16:29

Oh un esprit, trop bien!!

Bienvenue parmi nous, et au plaisir de te croiser!
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MessageSujet: Re: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law EmptyJeu 8 Mai - 20:38

Merci à tous! Promis, je n'hésiterais pas à harceler les admins, Jillian, mes futurs partenaires de rps ... Personne n'y coupera!

Jillian: La honte, c'est un gros malentendu, dans mon esprit, elle s'est faite enfermée puis elle revient hanter et tuer des "sœurs" ... donc j'ai fait le rapprochement avec le fait que les femmes étaient souvent enfermées dans des couvents à cette époque avant d'être exécutées. J'ai donc modifié, et en relisant ... oui, c'est vrai que "sœurs", ça tombait sous le sens. Et maintenant je t'enverrais un mp avant de faire une gaffe pareil!
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MessageSujet: Re: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law EmptyJeu 8 Mai - 20:45

Oh t'en fais pas, en te lisant, je me suis dit que c'était cohérent aussi en fait^^ A Paris, elle avait déjà été emprisonnée et dirigée par des religieuses et, je ne savais pas que les femmes étaient enfermées dans un couvent avant leur exécution... Du coup, Choria aurait pu tourmenter les sœurs/religieuses aussi si tu veux nemu (ça peut être fun xD) Juste que son besoin de vengeance envers sa chère sœur à qui elle doit l'exécution l'a amenée à posséder Jillian, donc ça, c'est assez important^^
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MessageSujet: Re: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law EmptySam 10 Mai - 20:17

Bienvenue !
J'avais pas vu ce scénario mais il déchire xD !
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MessageSujet: Re: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law EmptySam 10 Mai - 22:53

Bienvenue !
Bon courage pour ta fiche !! *O*

Own tu seras gentille j'espère
*fais les yeux de chien battu*
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MessageSujet: Re: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law EmptyLun 12 Mai - 16:00

Bienvenue sur le forum ^^
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Tessa R. Irving
Tessa R. Irving
Door Die
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MessageSujet: Re: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law EmptyMar 13 Mai - 16:00

bienvenue

Bon choix de scénario intéressant. *-*


Bon courage pour la fiche ! ballon2
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Chase A. Evans
Chase A. Evans
Infos de baseÂge du personnage : 28 ans
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Ma boutique de Voodoo:

MessageSujet: Re: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law EmptyMer 14 Mai - 12:16

Bienvenue **
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MessageSujet: Re: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law EmptyMer 14 Mai - 19:08

Merci à tous!
Je n'ai pas complété ma fiche depuis plusieurs jours, pour des raisons de formation parfaitement triviales, mais je suis toujours dessus! (a)
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Abigail C. Springfield
Abigail C. Springfield
Infos de baseÂge du personnage : 18 ans
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MessageSujet: Re: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law EmptyDim 18 Mai - 14:43

Coucou et bienvenue à toi o/

et bon courage pour ta fiche! ^^
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MessageSujet: Re: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law EmptyLun 19 Mai - 23:08

Merci Abi, c'est très gentil!

Je pense avoir terminé ma fiche. J'ai été affreusement longue à la boucler, alors surtout ne vous sentez pas obligés de la lire dans l'urgence, j'ai tout mon temps (a)
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Sophya A. Turner
Sophya A. Turner
Fade & Glory
Infos de baseÂge du personnage : 26 ans
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MessageSujet: Re: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law EmptyLun 19 Mai - 23:09

On s'en occupe au plus vite! =D

Pas de soucis, tu nous avais prévenu et de ce que j'ai déjà lu, ça en valait la peine! ^^
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MessageSujet: Re: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law EmptyMer 21 Mai - 11:09

J'ai le plaisir de te valider Cate! =D

N'oublie pas de créer tes fiches de relations et de rps, ainsi que de générer ta feuille de personnage (dans ton profil) et de la remplir! =D N'hésite pas à passer dans le Extra Voodoo, demander un rp pré-fait, voir si il n'y a pas de rp libre, et aussi dans la partie Evolution, où tu trouveras tout ce qui pourra t'aider à faire ta petite place sur le forum et à y évoluer! =D

Bon jeu parmi nous! ballon2
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MessageSujet: Re: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law EmptyMer 21 Mai - 13:38

OWIIII nemu
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MessageSujet: Re: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law EmptyJeu 22 Mai - 13:06

Merci!!
Je m'occupe de ma fiche de liens et je vais mettre mon nez d'esprit un peu partout où il ne faut pas!  nemu 
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MessageSujet: Re: Cateline / Choria - By the devil's law Cateline / Choria - By the devil's law Empty

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