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Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours]

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MessageSujet: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyMer 23 Juil - 4:48

Apollinaire Marian Jameson
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Avatar
GROUPE:
ÂGE: 22 ans
DATE DE NAISSANCE:
LIEU DE NAISSANCE:
METIER: Étudiant en littérature, musicien amateur toujours en recherche de petites scènes pour gagner un peu d'argent.
PARTICULARITES: Issu de la culture Chaman amérindienne, tatouages (Un monsieur sur un banc où s'échappe des oiseaux de son chapeau sur l'intérieur du bras gauche, un chêne hivernal allant de l'épaule gauche jusqu'au milieu du bras et "Freedom" en haut du bassin gauche ), chanteur et guitariste, fumeur.

AVIS SUR LES ESPRITS: J'y ai cru. Par la culture maternelle disparue trop tôt, quelques belles histoires dessinées dans des contes oraux qui ont bercés les premières nuits de mon existence. Puis j'ai voulu les oublier, m'écarter de ce rapprochement que je pouvais faire avec ma mère. J'ai rayé ces histoires, jetés les attrapes-rêves et condamné cette culture à l'oubli. Enfin j'ai essayé de m'y remettre, j'ai osé m'y aventurer dans un espoir vain de conquérir l'au-delà et de le plier à ma volonté. L'échec m'a blessé, m'a fait chuter dans une abysse que je connaissais déjà trop bien. Alors j'ai dégagé tout ça de ma tête et de mon existence, je les méprise par leur inefficacité et je les rejoins dans la colonne charlatans avec les psychologues, conseillères, ou autres personnes parsemant mon existence sans parvenir à l'embellir comme ils se vantent tous de faire.
AVIS SUR BELAAM:
L'AVEZ-VOUS REJOINT?:
AVIS SUR L'ASSOCIATION DE MEDIUMS:
L'AVEZ-VOUS REJOINTE?: (uniquement médiums, sorciers, et exorcistes - dans de rares cas humains et esprits) - pourquoi?
ET LA MAGIE DANS TOUT CA?: dites-nous en un peu plus sur vos croyances à la Nouvelle Orléans

Caractère
C'est derrière les sourires amusés que se cachent ma mélancolie, devant mon regard joueur que se trouve l'apogée de ma solitude et sûrement entre les lignes de mes plus beaux mots que se lit mes souffrances invisibles. Flagrante lucidité égarée sur l'être ou ne pas être de Shakespeare, il me semble bien parfois confondre maladroitement mes espérances à ma réalité. Loin de me plaire dans une aisance égocentrique, je me laisse bercer par la mégalomanie pour conforter mon manque de confiance. Approché, limite consumé, par un cynisme rongeant mes désirs d'utopie, je laisse, bien malgré moi, mon monde se perdre dans la décadence. Rebelle et enfant révolté, j'ai dans les veines la bohème de mes ancêtres, dans mes convictions les idéaux de Guevara et dans ma tête l'imaginaire de Peter Pan. Intéressé tout naturellement par mes pairs, la conversation se délie facilement de mes lèvres et s'attache alors un partage humain réchauffant l'altruisme échangé de mes relations sociales. D'une gentillesse innée, ne réfutant jamais autrui au profit de l'ego, je m'efface et parfois m'oublie derrière le charisme des imposantes personnalités. Pourtant chaleureux et ayant gommé ma timidité d'antan, ce n'est qu'à la réécriture de l'adolescence que j'ai pu signé d'un Carpe Diem mes habitudes.

Éternel rêveur désabusé de sa réalité, je perdure à sombrer dans les limbes fanatiques de mes envies impossibles et de mes fantasmes inavoués. Amoureux des contes et légendes, de la romance dans toute sa splendeur, une poésie romantique s'arme inconsciemment à mon comportement. Quelques fois charismatique, d'autres fois protégé dans une bulle forgée par le temps et le passé, je me désespère lorsque je me perds dans mes pensées. Conscient d'être dans les nuages, s'amusant plus à tracer les frasques d'aventures diverses plutôt que de les vivre, je me déconnecte de ce qui m'entoure, m'habituant probablement trop à la solitude. Angoissé à l'idée d'être abandonné je m'accroche aux parcelles d'humanité qui s'offrent à moi sans arriver à percer les secrets de la longévité. Lunatique, déconcentré par mes premières pensées, j'apparais comme distant sans chercher à l'être. Prônant la liberté j'aime flotter selon le gré de mes désirs immédiats et je me donne le droit d'assouvir ce que j'estime légitime.

Exposé autrefois à la discrimination, j'ai abandonné le spirituel pour le rêve. Et c'est sans le voir revenir que je ferme les yeux sur la rationalité de l'irréel. Étiqueté à une culture, à un peuple, je me laisse porter par des croyances minoritaires. Cherchant à tout prix d'échapper à un monde contrefait, je m'efforce de garder les pieds sur Terre. Exposant mon rire et ma bonne humeur pour ne jamais monter ma détresse, je suis spectateur plus qu'acteur, observant les autres pour apprendre comment faire. Insatiable de curiosité, je traque les découvertes et l'enseignement domine mon existence. Hanté par quelques gouttes de misanthropie arrogante, je m'enferme dans la musique pour faire vibrer l'expression de mes sentiments. Joueur et taquin, me complétant uniquement dans l'ironie et les farces immatures, éveillant sans cesse l'enfant endormi en moi. Ne sachant pas être raisonnable, me montrant capricieux, je procrastine mes responsabilités en attendant les obligations.

Perdu trop tôt dans un monde oppressant, je me sens souffrant au milieu d'une hypocrisie malhonnête. Attristé par les comportements humains, toujours en quête d'exceptions, je me laisse enivré par l'allégresse de la folie originale. Préférant parfois la démence à la normalité, obstrué par les clichés je justifie mes contradictions sur mes sauts d'humeurs. Je suis alors qu'un enfant qui a grandi trop vite, forcé à hurler en silence, oubliant d'aimer et de détester.


Histoire

Première étape, son déni.


Réalité fulgurante qui s'invite à l'improviste dans mon existence, jusque là, paisible et harmonieuse. Je me retrouve alors isolé derrière des choses impalpables que je ne peux comprendre, des mots trop durs à entendre, une situation trop triste pour la supporter, une injustice trop violente pour qu'un gamin comme moi ne l'encaisse. Je n'y crois pas, je ne veux pas y croire.
Cette idée abstraite de la mort qu'il m'est impossible d'appréhender, et qui frappe ma jeunesse pour devenir qu'un simple et douloureux souvenir inoubliable, marqué à vie dans la ligne de mon destin. Ces bras réconfortants, qui, chaque soirs, bordaient mes jolis rêves et caressaient mes joues tremblantes. Elle qui déposait un baiser sur les attrapes-rêves de sa culture, de notre culture. Ces lèvres qui frôlaient amoureusement mon front humide de mes sueurs cauchemardesques, souvent déliées pour prévenir et guérir mes maux, mes agitations nocturnes et mes blessures mêmes lointaines. Cette voix douce, la plus familière qui soit, qui me contait les vieilles histoires de mes ancêtres, ses shamans choisis par la destinée d'une culture entière portée sur les esprits et la nature. Cette voix qui berçait mon âme d'une croyance, aujourd'hui, presque disparue, oubliée. Cet apprentissage constant qui armait mon éducation, qui montrait l'exemple des routes et des chemins à emprunter, relevant les obstacles avant que je n'y bute, battant le vent et les marées avant qu'ils ne m'emportent et qui rassurait les peurs naturelles de la vie. C'est impossible, je ne peux croire qu'elle est mort, je ne veux m'y résoudre...
Tout ça disparaît au même moment où elle ferme les yeux pour la dernière fois. Elle laisse alors, derrière elle sur son chemin, un vide à jamais dénué de sens et pour toujours remplit d'un désespoir de souffrance inégalable.

Il fait noir sur mon monde lorsque la machine qui maintient ma mère en vie arrête d'osciller. Une ligne se trace comme le crayon de la vie raye son existence, la retire des siens. Le bip devient inlassablement constant et la fatalité du décès qui l'emporte m'arrache à ma réalité. L'absence de son semble flotter dans l'air pendant une éternité. Le temps est stoppé et mon regard vogue sur la pièce incroyablement blanche. Je ne veux pas croire que ma mère est morte mais je le dois bien. Je réalise doucement ce que ça entreprend bien que mon âge ne me permette de voir trop loin. Mes yeux s'affolent et s'allument dans les larmes mêlées d'incompréhension, de tristesse et de souffrance survolée. Et il n'y a que les sanglots, qui tardaient presque à venir, de mon père qui réveille mon corps inanimé depuis quelques minutes. Ses pleurs déchirent mon mutisme et je me joins à lui, ses bras serrent le corps froid de ma mère et ses hurlements résonnent. Le silence est désormais rompu et on peut lire toute la désolation du monde dans les yeux du personnel médical. Ils ont fait ce qu'ils pouvaient et ce n'était pas suffisant. Leurs regards sont affreusement pleins de compassion et je n'ai que de la haine au fond de la gorge. Je ne les blâme pas, mais je ne peux concevoir qu'on puisse partager ou s'imaginer partager ma douleur présente. Nous voilà désormais seuls, criant notre désarroi, faisant de notre mieux pour nous contenir, on se retrouve abandonné à notre dernier moment d'adieu, à la dernière fois où on pourra toucher, caresser, embrasser, détailler, et tant d'autres choses le corps de ma mère. Après, elle nous sera enlevé pour l'éternité, et c'était cette idée qui lacérait lentement notre avenir.

Le temps file entre nos doigts et rien ne se passe. Les jours s'écoulent devant nous et rien ne change. Mon père est toujours assis sur son fauteuil, dans l'obscurité de son bureau éteint et enfermé. Il boit, beaucoup, même trop. Il ne mange plus et ne se lève que pour agripper un énième bouteille dont il ne semble jamais apprécier le goût. Il lui arrive de parler à une photo d'elle. Il lui dit qu'il l'aime, qu'il est pas assez fort pour vivre sans elle et il pleure, beaucoup, jamais trop. Emprisonner dans un déni dénué de sens, il écarte la réalité pour ne jamais l'affronter. Trop faible probablement, trop touché, trop abattu pour se relever, il subit l'existence qu'on lui offre et moi je perds foi en tout ce que je croyais. Mon monde est sombre et s'engouffre dans une autonomie qui n'a plus aucune importance. Elle me manque et j'ai la sensation d'errer sans but, mes repères s'échappent et tout semble se griser lorsque je pose mes yeux dessus. Les « ne t'en fais pas » et « tout ira bien » s'usent et n'ont rien de bien réconfortants, alors je grandis difficilement dans cette tristesse abondante et je me laisse partir dans une solitude forcée par l'abandon.


Deuxième étape, ma colère.

J'entends la pluie couler sur la fenêtre de ma chambre et, alors que mes yeux divaguent sur ce ciel gris et mouillé, le monde ne m'a jamais autant paru si décalé. Je me lève, m'accroche au rebord pour coller mon front contre la vitre froide. La maison est silencieuse, mon père est loin, absent depuis le décès de ma mère. Et moi, je suis seul, esseulé et livré à son errance. Je regarde alors les gens vivre, les passants marchent et je vois les flaques sauter sous leurs pieds hagards. Je repère quelques curieux divaguer et, encore une fois, je sens ce monde trop lointain, je me sens écarté, issu d'un autre endroit.
Une terrible impression d'être invisible de tous, d'être étranger à l'humanité s'éprend de moi. Cette humanité si compatissante, si pleine de vivant, de joies et de peines. Et, à nouveau, je troquerais mon bonheur éteint pour lui tenir la main et sentir ses yeux doux se poser sur moi. Puis je réalise que ce souhait est récurrent, qu'il est toujours là, qu'il se pose dans mon esprit comme maître des vœux et qu'il s'enchaîne alors chaque fois que l'imaginaire brise la réalité.
Je ne les comptes plus désormais, tous ces moments où j'espère la voir traverser la rue pour rentrer à la maison. Je me contente d'être ses yeux, absorbés par l'irréel, spectateurs de mes rêves les plus chers. Errant sans but et avec l'absence de la compréhension, je suis perdu dans mon imagination, alors, je maudis la vie et la rébellion anime mon être qui en veut à tout le monde.
Enfant égaré dans un trop plein de réalité, enfermé dans l'incompréhension face au sens du monde et de cette soi-disant justice. Je hurle ma douleur. Ce cri aphone et unique qui se faufile sur mes sourires silencieux, qui dessine dans mes yeux les frasques colorées de ce que j'ai perdu ainsi que les souvenirs dissimulés derrière des murs fictifs.
Cette réflexion presque philosophique, loin de l'existence surévaluée, accrochée au désir enivré d'agir sur l'omniscience et d'avoir l'omnipotence. Cette idée saugrenue que tout est possible, de prier pour l'utopie et de supprimer la dystopie. Vouloir fuir de l'avenir incertain pour construire nous-même un bonheur en défaisant les idées reçues.
Oui, c'est cette envie irrépressible de hurler ce qui est si naturellement tut et oublié, d'imaginer enfin que plus rien ne puisse me retenir et se laisser envahir, enfin, par une colère monstrueuse qui submerge cette tristesse atroce et virulente. C'est cette envie qui décroche lentement une magnifique image mélodieuse bien trop rare au milieu de mon achromatopsie sur ce nouveau monde qui s'offre à moi.

Il fait rouge sur ce monde qui m'offre que désolation et regards compatissants. Je ne supporte plus les vagues d'excuses, les mains sur mes épaules et les petits mots qui se veulent réconfortants. Je ne veux plus de ces amis hypocrites qui n'ont que de la pitié à offrir. Je ne désire plus entendre ces paroles dites sans convictions. J'en viens à haïr ces gentilles personnes qui se mettent à ma hauteur pour me demander de hurler ma peine. J'exècre cette atmosphère glauque et silencieuse qui s'installe lorsque j'entre dans une pièce. Alors je balance tout en l'air, je hurle quand je le souhaite, je renverse mes affaires en serrant mes dents qui reflètent ma haine. Je crie l'injustice que je vis et je me bats contre ces brutes qui se pensent plus malines que tout le monde. J'ose alors la violence bête et irréfléchie et ça me défoule, ça m'aide, ça m'apaise. Je pique des colères gargantuesques contre tout et n'importe quoi, tous deviennent alors mes souffres-douleurs et je n'ai à mon tour aucune peine, compassion ou pitié envers eux. Ils subissent alors, sans broncher, les frasques de mes crises violentes, je deviens plus qu'un vilain petit canard égaré. Je m'enferme dans une solitude, mes yeux s'affaissent dans la noirceur de la haine, et quiconque croise mon regard se voit supprimer de ma réalité. J'exprime mes émotions, et la nuit, au fond de mon lit, l'enfance frappe et s'emporte à son tour. Les larmes explosent, les sanglots suivent, et il n'y a plus que la douce pluie contre ma fenêtre qui peut désormais apaiser mon cœur.

Ma colère domine mes journées à l'école, mes soirées à voir mon père encrassé dans l'alcool et le déni, alors que ma tristesse brûle mes nuits, déversant larmes après larmes sur cette injustice presque désolée à son tour. Je me perds alors dans mon cocon de solitude qui se fissure avec mes coups futiles qui combattent des moulins. Il m'arrive de penser que si je casse tout, quelqu'un se rendra bien compte que c'est injuste, que c'est trop dur, que c'est une erreur. J'ose penser qu'on me rendra ma mère, mon père, ma vie d'antan qui se dessine de plus en plus sur le temps des jadis furtifs. Je me range dans les causes perdues et je préfère hurler encore et toujours. Je ne trouve aucun responsable alors tous deviennent des proies à ma subite violence. Je tape partout, je laisse ma douleur hurler dans des sons stridents et enfuis dans l'espace, l'espoir s'éteint, la tristesse aussi, la colère presque, et je grandis sans voir qu'il faut accepter et comprendre l'injustice de la réalité pour enfin retrouver son enfance.


Troisième étape, leur marchandage.

Misanthropie égarée dans l'angoisse du rejet. J'ai peur. Cet effroi capable de tout, qui frissonne sur la peau, hérisse les poils délicats, qui glace le sang et paralyse les mots. Ce tiraillement maladroit entre l'oser et l'ignorance, paumé dans les limbes de la stupidité raisonnée. Cette débâcle au milieu de cette mélasse de bons sentiments survolés et de mégalomanie surestimée. Cette peur incontrôlable, s'éprenant de moi dans l'inconsciente distance naturelle de « je » et du « nous ». Cette fuite du trop souvent médiocre contact humain, je m'isole dans l'éternelle mélancolie solitaire. Cette absence perpétuelle d'un entourage fixé à l'idée d'éternité, enchaîné aux absurdes monologues pensés. Rejet angoissé de l'égarement dans la philanthropie. J'ai peur, peur d'être à nouveau heureux.
Ma colère s'enfuit lentement et je retrouve alors la raison. Puis je regarde timidement toutes ces personnes qui savent, qui m'observent, qui ont peur de mes diverses réactions. Je suis presque grand désormais et pourtant, je suis seul, terriblement isolé du monde. Le temps a assez filé, et on ose me punir à nouveau. Mon père lâche sa bouteille pour mettre la main sur moi et il frappe mon corps et mon visage qui parfois lui rappelle trop de mauvais souvenirs. Je pleure encore, et c'est maintenant trop long. Je n'arrive à dépasser tout ça et je me perds toujours dans cette tristesse impossible à évacuer. Je revois son visage, je le vois bien trop souvent, bien trop longtemps.
Les jours s'écoulent sans que rien ne change. Je m'enferme dans tout ça et on commence seulement à s'occuper de moi. On me demande mon vécu, parfois on insiste un peu. On voit mon corps fragile et abîmé puis les questions fusent et s'installent dans une réalité violente qui revient et surpasse l'enfance, elle, dominée par l'imaginaire. Est-ce, ça, grandir ?
Et viens alors les questions incessantes. Elles restent sans réponses, et deviennent alors récurrentes. Je me retourne vers cette spiritualité que j'avais perdu et je me dis que c'est ma dernière chance.

Mon monde est désormais fumant, je me mélange à cette vie spirituelle. Ayant toujours connu ces histoires d'esprits, de communication, je m'oblige à y croire pour y faire mon deuil. Je divague dans les rues et je vois toutes sortes de choses, je me sens loin de ce monde, et je n'y comprends rien. Je préfère me tourner vers mes ancêtres et la honte qui terrasse mon cœur encore incertain m'empêche de demander une aide quelconque. Alors je lis, je découvre, et ce sont mes prières qui négocient le retour de ma mère. J'offre ma ponctualité, ma politesse, ma bienséance. Je donne avec plaisir ma charité, mon altruisme et ma gentillesse. Et rien ne marche. Alors je maudis ces esprits et cette spiritualité qui ne fonctionne pas, puis le désespoir s'attache à moi et les excuses sont sincères. J'essaye de me montrer plis convaincants, j'offre des choses dont je ne suis pas capable et je réalise que j'essaye de tromper mon monde. Je me morfonds alors dans cette irréalité, et il m'arrive de penser que ma souffrance est ma meilleure alliée. Je me force même parfois à pleurer et je joue de cette compassion, de cette pitié qui, autrefois, provoquant mes colères. J'use encore et encore toutes les parcelles d'options qui s'offrent à moi mais rien ne fonctionne. Le prix semble trop important, alors je repars dans la déception.

Je maudis une dernière fois tous ces trucs de charlatans, balançant tout par la fenêtre et je maudis ce monde et même l'au-delà puisque mes caprices ne peuvent être comblés. Je perds espoir, laissant la place à une ultime vague de désespoir qui détruit tout sur son passage, qui amène mon début d'adolescence dans l'effervescence de la violente souffrance.


Quatrième étape, notre dépression.

Je n'arrive à oublier, alors je hurle, je pleure et je me déchire la peau pour quelques regards de plus. Car au final, perdre la raison c'est se parjurer et prier ce qui n'existe pas dans l'espoir vain d'accomplir l'impossible. Je me perds encore, je souffre et je m'ouvre les veines pour un dernier baiser sur le front. Car au final perdre quelqu'un c'est rompre ses promesses sur ce qui est naturel et qui devraient survivre à l'éternité.

La pluie et l'orage a remplit le ciel de mon monde. J'arrive à survivre, je souris, je grandis et j'existe à travers les quotidiens normaux des gens vivant sans l'extase d'une passion quelconque. Je m'isole dans la musique et mon père est partit rejoindre les réserves. J'habite seul, presque majeur, et je traîne des pieds dans mon existence. Je ris avec les autres, je vis dans un silence horripilant, et je pleure encore, n'ayant de goût que pour mes petits moments solitaires où je gratte les cordes de ma guitare et où ma voix tremble sa souffrance. Le décès est loin et j'arrive à parfois oublier, mais la réalité revient, et alors je me perds dans ces souvenirs qui remontent. Cette idée affreuse qui me montre tout ce que j'ai perdu, tout ce que je n'aurais jamais.

Alors j'essaye de sourire, de faire face et je me maintiens hors de l'eau pour réussir à vivre encore. Car au final exister sans l'amour maternelle c'est mourir lentement dans l'absence.

Je me sens perdu au milieu de gens bien trop heureux pour me ressembler. Je me trouve pitoyable et lamentable et je rejette les fautes et les erreurs sur mon existence qui continue son train-train basique. Je tombe amoureux, j'expérimente mes premières fois, je passe par les examens et les sorties étudiantes. Je m'amuse, je fais le vide, et le remplissage devient que plus conséquent. Je vois toutes cette spiritualité autour de moi et je trouve abjecte d'avoir tant d'escroqueries autour de moi. Je déteste les gens et je m'efforce de masques mes ressentiments malheureux d'un passé torturé. Je les regarde vivre et j'espère presque qu'ils soient tous aussi misérables que moi. Je les imagine dans leurs pires moments, et ma faiblesse s'attache à la leur. Désormais c'est comme une épine qui s'enlèvera jamais et je me sens tomber dans un gouffre qui n'a pas de fond. Je réalise que ma chute est ancrée depuis des années déjà et que jamais je ne m'écraserais. L'espoir est vain et l'existence est maussade. Ma vie est morose et la déprime dessine sur mes vieilles feuilles des notes et des paroles qui feront plus tard une panoplie de chansons.

Et enfin je me retrouve, je ressuscite, et j'arrive à conjurer le manque pour parvenir à mettre tout ça de côté. Car au final souffrir c'est aussi éphémère que le bonheur, et il faut vivre pour souffrir, souffrir pour vivre, car au final, attendre l'éternité ne peut se faire que si on arrive à exister.


Cinquième étape, l'acception.

Et j'inspire, étouffant les hurlements torturés, cachant dans le silence et les sourires bon enfant les cicatrices du temps.
Puis, j'expire, relâchant ce qu'il faisait mal avant, fuyant valeureusement la tristesse d'antan, et j'oublie l'époque du « jadis » pour regarder droit devant.
Enfin, je respire, expiant ce qui depuis bien trop longtemps m'enchaîne, lacérant ce qu'il reste de mes tourments et rire comme je le faisais avant.
Alors je retiens ce souffle salvateur, je regarde autour de moi et je me rends compte que je n'ai jamais été seul, que mon monde tourne encore et toujours dans une direction jamais ébranlée par le vent du temps.

Il fait beau sur mon monde car je souris à nouveau, je rêve et je vis comme les autres, je m'attache à exister et à crier pour la toute première fois « je suis vivant »...


Test RP
Dans la jolie débâcle de mes idées, cette partie est en cours d'élaboration inspirée ♥ !

Hors Jeu
PSEUDO: Ouvert à toutes suggestions ♥ !
ÂGE: 20 ans
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU BM?: Au détour d'une jolie ruelle se nommant "Partenariats" d'un vieux et ancien bar vintage désormais fermé.
DEPUIS COMBIEN DE TEMPS VOUS RP?: J'écris des choses qui veulent vraiment dire des trucs depuis mes 10-12 ans, m'étant noyé dans Internet vers mes 14 ans le rp ne s'est affectionné de moi que vers mes 16 ans.
VOTRE IMPRESSION SUR LE FORUM?: Rarement vu une si belle architecture, la façade est splendide, parfaitement liée à l'ambiance, les fondations sont précises et, point important, adaptées à tout le monde. Tout est subliment expliqué, on voit qu'il y a des intrigues régulières et bien menées, aucunes informations ne manquent et il est précisé à chaque fois que le staff donne des informations complémentaires au besoin. Bref, je pourrais complimenter encore et encore mais c'est mon premier rendez-vous, j'en garde un peu pour la suite (a) ! ♥
DESIREZ-VOUS UN PARRAIN/MARRAINE?: Oh, j'ai jamais réellement osé, mais si quelqu'un se sent de me supporter en filleul, je l'accepterais volontiers !
FREQUENCE DE CONNEXION? Entre 4 et 6 jours sur 7.
VOTRE AVATAR: Matt Corby
UN COMMENTAIRE?: Comment on passe la bague au doigt d'un forum ?
ACCEPTEZ-VOUS L'INTERVENTION DE JOUEURS ESPRITS DANS VOS RP'S?: Oui, je le veux ! ♥ *wedding march*
Oubliez le commentaire, j'ai trouvé !
NOTA BENE POUR ESPRITS: Validé, vous pourrez intervenir dans les RP's d'autres joueurs. Avant, vérifiez bien que les joueurs ont accepté cette possibilité et envoyez-leur un MP pour les prévenir.



Dernière édition par Apollinaire M. Jameson le Ven 8 Aoû - 3:27, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyMer 23 Juil - 5:40

Biennnnvenueeee parmi nouuuuuuuuuuus!!!!!!!!!!!!!!! Very Happy ♥️

Bien contente d'avoir de la compagnie sur la CB à des heures tardives :3
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyMer 23 Juil - 9:52

Bienvenue parmi nous! ♥️

Je n'avais jamais vu cet avatar... et c'est une belle découverte *Sophya sort et prend la porte loin, trèèèèèèèèèèèèèèès loin! * !

Hmmm... ton indication sur le partenaire m'intrigue du coup! Je peux savoiiiiiiir? *fais les yeux doux*

En tout cas un grand grand merci pour les compliments, ça fait vraiment plaisir! Et ça angoisse juste un peu pour la MAJ à venir xD

N'hésite pas en cas de besoin, on te répondra avec un grand plaisir! ♥️

bienvenue
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyMer 23 Juil - 10:11

Oh quel pseudo, j'en avais pas vu un Apollinaire depuis près de 5 ans xD

Merci pour les compliments et le staff est là au besoin ! ^^ (Tiens je me répète xD)
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyMer 23 Juil - 11:16

Graou quel superbe vava !!!

Bienvenue *o*
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyMer 23 Juil - 11:30

Coucou et Bienvenue !
J'adore ton pseudo *.*
Puis ta façon d'écrire.. Que c'est beau :')
Je pourrais être témoin au mariage ?
Bonne continuation ~
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyMer 23 Juil - 12:01

Oh merci à vous tous ♥️ !

Pour l'avatar, c'est un chanteur, et oui il n'est pas très connu mais gagne à l'être Razz ! Pour les intéressés ♥️ !

De rien pour les compliments, il faut bien le dire quand c'est génial et j'ai hâte de voir la MàJ Very Happy ! Autrement, pour le forum fermé qui m'a mené jusqu'ici c'est Perfide Albion, mais la phrase c'est surtout pour pas mettre juste "Partenariat" xD !

Sinon bah euh je me dépêche d'écrire pour jouer avec vous parce que j'ai trop hâteeeeeeeeeee ♥️ !
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyMer 23 Juil - 16:34

Bienvenue!

J'adore ton style d'écriture, très belle plume! *o*
Du coup, bon courage pour la suite de la rédaction!
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyMer 23 Juil - 17:13

Bienvenue beau brun ballon2 Un musicien... Jill' va apprécier Apo' **

Si tu es toujours à la recherche d'un parrain, je me propose avec plaisir nemu

En tout cas, bonne rédaction de fichette o/
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Abigail C. Springfield
Abigail C. Springfield
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Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Left_bar_bleue135/200Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Empty_bar_bleue  (135/200)
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyJeu 24 Juil - 0:12

Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche o/
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyJeu 24 Juil - 2:17

Bienvenue coeur1
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D. Collin King
D. Collin King
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Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Left_bar_bleue100/200Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Empty_bar_bleue  (100/200)
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptySam 26 Juil - 1:28

je plussoie Quinn. super prénom. j'adore.

bienvenue ici mon choupinou (:
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Sophya A. Turner
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyLun 4 Aoû - 17:32

Hellow Apo! =D

Je viens voir où tu en es dans ta fichette! N'hésite pas si tu as besoin d'un délai supplémentaire! =D

Courage ♥
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyMer 6 Aoû - 0:47

Merci pour les bienvenus ♥ !

Oui désolé, désolé, je traîne énormément mais j'ai eu pleins de trucs à régler avant et du coup j'avance comme une tortue ><' ! Mais j'ai bientôt rattrapé le lièvre et dépassé la ligne d'arrivée, ça sera finit cette semaine, genre jeudi tout au plus ♥ !
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyMer 6 Aoû - 8:59

Pas de souci =D Par contre le 9 août nous fermons le forum pour la MAJ que tu saches XD
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyMer 6 Aoû - 14:38

Chouette avatar, beau prénom et super plume, que demande le peuple!!

Bon courage pour finir ta fiche, et j'espère te croiser bientôt!

Obligé ton perso et la mienne vont devoir avoir un lien!
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyVen 8 Aoû - 3:30

Oh merci parrain de me prévenir, mais je pense que j'aurais terminé, il me reste plus que le Test rp, je devrais le faire tout à l'heure ou demain ♥️ !

Merci pour les compliments et le bienvenue, et c'est avec plaisir pour les liens Very Happy ! ♥️
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyVen 8 Aoû - 13:53

D'accord ça marche =)
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyMar 12 Aoû - 11:43

Hello je viens à toi pour savoir où tu en es dans ta fiche et si tu as besoin d'un délai supplémentaire. =)
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyLun 18 Aoû - 11:40

Désolé, désolé, désolé ><' !

J'ai eu des problèmes avec ma wi-fi, je ramais à fond et j'ai des petits soucis d'écriture ! Mais j'suis toujours dans le coin et je compte bien finir rapidement maintenant que tout est bien revenu ♥ !

Désolé du temps que j'mets ><' !
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyLun 18 Aoû - 11:42

merci de nous tenir au courant. =D Je te donne donc un délai supplémentaire. ^^
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyVen 5 Sep - 9:25

Hello, je voulais savoir où tu en étais dans ta fiche ? =)
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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] EmptyMar 9 Sep - 9:39

Bonjour. =D Je viens t'annoncer que le forum fermera ses portes demain 10 septembre pour une MAJ à partir de 14h jusqu'au 15 septembre. =)
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Hello Appo!

Je viens faire une relance sur ta fichette pour savoir où tu en es =D. Merci de nous tenir au courant!
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Hello Apo! =D

Sans nouvelle de ta part, nous t'accordons un dernier délai d'une semaine pour terminer ta fiche. Merci de ta compréhension!

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MessageSujet: Re: Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Apollinaire Marian Jameson ∞ " Et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné, plante son drapeau noir. " C. Baudelaire [encours] Empty

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