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Hayel Blackson - Au royaume du silence

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MessageSujet: Hayel Blackson - Au royaume du silence Hayel Blackson - Au royaume du silence EmptyVen 13 Sep - 21:49


HAYEL BLACKSON
Ft Richard Madden
Hayel Blackson - Au royaume du silence Sans_t39
Hayel Blackson - Au royaume du silence 3112997365_1_17_jtiSybGW

AGE: 25 ans Né le 19 décembre 1987
METIER: Pompier
DON: Au toucher de l'esprit, peut voir un souvenir clé de sa vie passée. - Egaré dans mon esprit, il insuffla une tornade le jour de sa manifestation. Incontrôlable, un déferlement dans ma tête, le chaos mon esprit. Je poussais un cri. Mon premier cri depuis 11 ans, choquant chaque élève de l'école qui m'entendit. Maman m'avait dit que j'étais spécial, je le compris à cet instant précis qui bouleversa mon existence. Plus tard, je fis la curieuse expérience du souvenir d'un esprit. Inutile de le voir ou l'approcher, il suffisait simplement d'un contact pour enclencher mon don. Me frôlant, je perçus quelques images, un bébé qui pleure, une femme donnant la vie, le sourire aux lèvres. Instinctivement, je compris que ma mère se trouvait à proximité, devenue esprit, parfois elle avait été présente, sans que je ne puisse le détecter. Devenu homme, elle s'en est allée vers l'au delà, sa mission accomplie.
VOTRE AVIS SUR LES ESPRITS:
EST-CE QUE VOUS PARTAGEZ LE RASSEMBLEMENT DES MEDIUMS?:

Je suis le clapotis de l'eau de la pluie tombante, je suis le cri de l'oiseau au matin dans l'arbre, je suis la flamme de la bougie allumée, je suis la présence dans la pièce, invisible et silencieuse, présente et muette. Je discerne et entends beaucoup, personne ne me le dissimule, certains de mon silence, croyant encore que je ne parle pas.
Je m'exprime pourtant très clairement; pas orateur pour un sou, incapable d'argumenter correctement, je préfère m'exprimer par la profondeur des sentiments et le langage corporel. De nombreux messages passent à travers quelques piètres paroles, de grands discours n'ont jamais autant d'impact que certains mots-clés. Je suis considéré comme un casse-cou, fonçant tête baissée vers n'importe quel danger ; qui dit que je ne réfléchissais pas avant de m'élancer ? Le langage corporel a cette particularité bien précise : pour une expression, de nombreuses interprétations. Là réside toute sa force et sa richesse. Il est délivreur de sensations entre les individus, malheureusement souvent délaissé, remplacé par le vide des mots. La parole délaisse les sens, les rangeant au placard. Isolé dans mon royaume silencieux, au sommet de ma forteresse de solitude, je trouvais pourtant certaines personnes prêtes à passer les murailles pour me connaître.

Sons et vibrations contribuèrent à ma délivrance : j'appris la guitare et la basse, trouvant refuge dans la musique. Mon moyen d'expression, celui par lequel je pouvais m'exprimer clairement et fort. Porteur de mon état émotionnel, tantôt piano, tantôt forte, tantôt martelé, tantôt animé. Les improvisations, mon type de musique favori : l'esprit m'envoyait où il le désirait, au gré de mes émotions. Une sensation calme me traversait, celle de la plénitude. Dans mon univers que personne ne pouvait déranger.
La musique fait toujours partie intégrante de ma vie, m'accompagnant dès que le besoin s'en fait ressentir. Unique langage d'expression pendant onze ans, je ne la délaisserai jamais. Sensible aux vibrations, je ressens cette même sensation lorsqu'un esprit se trouve à proximité de moi. Je le vois, le ressens, une sensation indescriptible. Cette émotivité m'animant me rend parfois impulsif et rapidement sur mes gonds. Réflexes en alerte, je passe parfois d'un extrême à l'autre, du calme à l'énervement. J'ai maintenant tendance à supporter de moins en moins le silence ambiant; un fond sonore m'est indispensable pour supporter l'angoisse qui traverse : je ne veux pas regagner cette forteresse de solitude que je mis tant de temps à quitter.

La vie d’un être humain consiste à naître, grandir, vieillir puis mourir. Le monde d’aujourd’hui prouve que c’est faux. La possibilité qu’un « après » existe éclate au grand jour. Des médiums comme moi, dotés de perceptions extraordinaires le certifieront. Les charlatans jamais ne le percevront. Ma famille se transmet depuis des générations, par le sang, ce don de clairvoyance propre aux médiums. Je l’ignorais à ma naissance, je l’ai découvert bien assez tard. Fils unique, mes souvenirs me rappellent ces bons moments passés avec mes parents. Heureux, nous l’étions. Je n’aurais pas pu rêver meilleurs parents : présents, aimants. Je me rappelle mes premières vacances à la mer : j’avais quatre ans, je m’étais amusé à éclabousser mes parents qui approchaient. J’étais un garçon tout à fait normal, je m’épanouissais, me montrait curieux et observateur. J’aurais pu grandir de cette manière et devenir adulte sans rien pour bousculer ce cocon familial.
L’année de mes six ans ne se passa pourtant pas comme prévue.

J’étais chez mes grands-parents pour l’après-midi, rentrant le soir à la maison. Sur le chemin du retour, nous nous arrêtâmes pour casser la croute dans un fast-food. Les choses auraient-elles pu en être autrement si nous n’avions pas fait halte avant de rentrer ? Nous aperçûmes un filet de fumée s’échapper au loin d’une maison de la ville. Les pompiers faisaient chanter leur sirène pour obtenir la priorité sur la route. Je ne me doutais de rien, inconscient de ce qui se tramait autour de moi. Quand nous arrivâmes devant la maison, je vis le brasier. A travers mes yeux, des flammes dansant autour de ma maison, mes parents à l’intérieur. Des spectateurs curieux observaient le triste spectacle. L’étage commença à s’effondrer, les lourdes poutres retenaient le bois craquèrent dans un fracas assourdissant. Je sortis en trombe de la voiture, courut. Je ne me souviens plus pourtant je courrais à travers les cendres : probablement pour rejoindre mes parents. Avant d’atteindre le barbecue géant, je fus arrêté par un pompier m’empêchant d’entrer. L’enquête policière assura que l’incendie avait une origine criminelle.
A partir de ce jour, plus un son ne sortit de ma bouche.

J’ignore également pourquoi je cessais de parler depuis ce jour là. Consultant spécialiste sur spécialiste, aucun ne fut en état d’expliquer pourquoi ce silence préoccupant. Je ne parlais plus, j’étais moi-même incapable de faire sortir un son de ma bouche. Ce fut le début d’une forteresse de solitude. Ne prononçant plus un mot, on me fit apprendre le langage des signes pour m’exprimer ; je ne l’usais pas très souvent, me terrant derrière les murailles forgées par mon esprit. Je consultais même un psychologue, qui fut bien embêté de ne rien tirer de moi. Je me recroquevillais dans mon espace dont personne ne pourrait entrer. Désormais, je vécus chez ma tante, mon oncle et mon cousin de deux ans mon ainé. Je fus scolarisé avec des enfants « normaux » : beaucoup me trouvèrent étranges et me rejetèrent ; d’autres voulurent me connaître et je les laissais entrer. Tantôt refermé pour certains, tantôt ouverts pour d’autres, ma tante eut la bonne idée de m’inscrire dans une école de musique pour y apprendre la guitare. Jouer d’un instrument éveilla un autre langage jusque lors inconnu, et j’usais de cette possibilité pour m’exprimer. Les vibrations de mon instrument me procuraient bien être et détente. Mon cousin rejoignit mon apprentissage, préférant le piano. Nous fîmes de nombreux duos d’improvisation tous deux, libérant mes angoisses.

Au lycée, je rencontrais une jeune fille de mon âge, instrumentiste également : Jillian. Avec deux autres personnes, nous créâmes un groupe de rock : elle batteuse, moi bassiste, troquant ma guitare pour une basse. Ce n’est guère plus compliqué, la seule différence repose dans le nombre de cordes : 6 cordes pour la guitare, 4 pour la basse. J’appris aisément à jouer de cet instrument. Meilleure chose qui m’arriva durant ma scolarité d’ailleurs : ce groupe. Je pouvais partir sur des improvisations qui duraient des heures avec Jillian ! Les années passant, je devais beaucoup plus expressif que je ne l’aurais été si j’avais parlé. Mon corps s’exprimait à chaque émotion ressentie : si l’on dénotait au premier abord mon humeur, je gardais mes secrets avec moi.

J’aurais pu rester muet toute ma vie durant. Avec le temps, l’entourage s’habitue à ce handicap. Ma présence ne gênait personne, si j’entendais beaucoup autour de moi, je ne risquais pas d’aller le répéter. Et puis, il y eut ce jour. Banal, comme les autres, ordinaire. Et je le vis.
J’ignorais ce que c’était. Je restais persuadé que cela n’avait rien d’humain. Cette chose, comme une ombre, suivait Jillian. Personne ne semblait la remarquer, pas même mon amie. L’angoisse s’empara de mon être, se glissant en moi.
Alors j’ai hurlé de mon saoul. Oui, hurlé. La première manifestation de ma voix en onze ans.
Sous le choc, je fus incapable de réagir autrement. Etait-ce moi qui avais crié ? Ou n’était-ce qu’un reflet de ma panique martelant mon esprit ? Les visages autour de moi, étonnés voire choqués, me firent comprendre que je venais d’émettre cette vibration.
Transporté à l’infirmerie, je ne dis plus un mot de la journée. Qui croirait ce que je venais de voir ? Me terrant dans le silence, je fis ensuite des recherches minutieuses et précises pour obtenir l’aide de quelqu’un, n’importe qui croyant en ce genre de choses. Mon attention se porta sur le vaudou. J’écrivis à ce prêtre, narrant ce que j’avais vu. Il me répondit par l’affirmative : je n’avais pas rêvé.
Quelques jours plus tard, je sortais mes premiers mots en onze ans.

En décembre, j’appris la condamnation de Jillian, confirmant une fois de plus mes dires. Un choc à encaisser pour moi. Aurais-je pu faire quelque chose pour empêcher pareille horreur d’arriver ? J’avais bel et bien vu un esprit. Si j’avais pu réagir dans les temps plutôt que laisser la peur s’agripper à moi, elle aurait pu être sauvée. D’où provenait cette possibilité de voir un être censé être décédé ? Mon oncle me l’apprit plus tard, il était de famille d’être doté de ce don de clairvoyance comme il le disait. En attendant, je passais deux fois par semaine chez un orthophoniste pour la rééducation de ma voix. Je devais apprendre à m’écouter pour m’exprimer comme il faut. Difficile de quitter une muraille que l’on s’est construite pendant des années. Mais j’ai appris. Diplôme en poche, je m’engageais dans une caserne de pompiers, métier ne nécessitant pas beaucoup d’études, afin de me consacrer entièrement à ce don à maîtriser. Je reçus l’apprentissage du prêtre vaudou que j’avais préalablement contacté. Il m’enseigna l’intégralité de son savoir, m’apprit des sortilèges comme le mauvais œil et le vaudou blanc. Je m’entrainais pour maîtriser ce don de clairvoyance, et découvrait que je pouvais capter les souvenirs des esprits qui me frôlaient : je compris ainsi que ma mère avait veillé sur moi. Quatre ans d’enseignement plus tard, mon maître m’avait enseigné ce qu’il savait, je pouvais voler de mes propres ailes. J’avais encore à apprendre, je n’aurais jamais fini : je m’étais passionné pour le spirituel, et cela m’aidât à me connaître moi-même.
Pendant les années d’enferment de Jillian, je lui rendis régulièrement visite, certain qu’elle ne me reconnaitrait sans doute pas. L’esprit qui la possédait lui faisait perdre la tête, pourtant je gardais espoir. Tous l’avait abandonnée à son triste sort, moi pas.
Peut-être parce que je comprenais son état mieux que quiconque.
TC’est le grand jour, celui que personne n’espérait. L’infirmière en chef m’avait appris lors de ma précédente visite que Jillian ne tarderait pas à sortir de l’asile. Etant une des rares personnes qui lui rendaient visite, elle m’avait demandé si quelqu’un serait présent à sa sortie. J’avais répondu par l’affirmative, prêt à la prendre sous mon aile si personne de son entourage ne se proposait ce jour là. Qui étais-je pour accomplir pareille action ? Uniquement un ami d’enfance. Sans prétention, n’attendant rien de sa part, pas même une quelconque reconnaissance. Ce jour où j’avais vu son esprit, je ne pouvais m’empêcher d’y repenser, culpabilisant de n’avoir rien pu faire pour empêcher des années de perdues. Se faire internée à cet âge là était le pire destin : sans le sou, sans aucune formation pour reprendre sa vie en main, cela revenait à sortir de prison pour reconstruire ce qui avait été détruit. Des années seraient essentielles pour que Jillian trouve sa voie dans le monde : je m’engageais pour une durée indéterminée à m’occuper d’elle. J’en avais conscience, bien que cela me soit égal : je considérais mon don de médium comme celui d’une aide à apporter aux humains.

Mon appartement soixante mètres carrés serait suffisamment pour que nous puissions y vivre à deux. Si elle voulait bien venir avec moi, une chambre l’attendrait dès son arrivée. Je ne saurais expliquer pourquoi j’acceptais de l’accueillir chez moi, sans l’avoir vue depuis des années, était-ce une folie de ma part ? Elle pourrait combler le silence bien trop pesant dans cet appartement qui me rendait fou. Mon métier m’appelait sur le terrain en cas d’urgence, je pouvais tout aussi être absent quelques jours comme être présent durant le même temps. Je pouvais tout aussi bien voir des amis, le vide de mon appartement restait toujours aussi présent dès mon retour chez moi. J’avais effectué un peu de rangement, devant faire bonne impression. Habillé confortablement, je m’étais emparé de mon jeu de clés puis avait verrouillé la porte en quittant les lieux.
Me reconnaîtrait-elle ? Sous mon allure de jeune adulte un saillant négligé, je l’ignorais complètement. C’était une connerie de venir, une grosse erreur. Dans la voiture, je montais le volume de la radio pour laisser mon corps se faire transporter par les vibrations du son. De la techno ou du classique m’était égal, je voulais ressentir la musique à travers mon corps. Un camion manqua de m’embrocher sur la départementale : je le klaxonnais violemment pour le réveiller. Quel malade celui là ! Je cramponnais mes doigts sur le volant d’instinct, certain que je ne serai pas plus en sécurité en m’agrippant au volant. Du moins, je pouvais espérer la tranquillité de mon esprit, quoique je ne me sente pas rassuré. Allais-je parvenir en vie à l’asile ?

La nervosité s’empara de moi alors que je sortais de ma voiture, verrouillant les portières avec soin. C’était une connerie de venir, je le savais. Rebrousser chemin ? Non, un peu de courage. Je m’engageais, j’en avais conscience, j’avais pesé le pour et le contre de cette décision pour ensuite accepter de courir le risque. Que serait la vie sans un peu de piment n’est ce pas ? Les derniers pas m’amenèrent devant la porte de l’asile. Ne restait plus qu’à patienter maintenant. Huit ans avaient passé depuis cette condamnation qui avait ruinée sa vie. Je connaissais les circonstances, l’esprit n’était pourtant plus pas vrai ? Je ne craignais donc rien, ou presque.
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Dernière édition par Hayel Blackson le Lun 3 Mar - 15:11, édité 13 fois
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MessageSujet: Re: Hayel Blackson - Au royaume du silence Hayel Blackson - Au royaume du silence EmptyVen 13 Sep - 21:50

Bienvenue ♥ Mwhaha jolie tête *-*
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MessageSujet: Re: Hayel Blackson - Au royaume du silence Hayel Blackson - Au royaume du silence EmptyVen 13 Sep - 22:02

Merciiiiiiiiiiiii :love:
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MessageSujet: Re: Hayel Blackson - Au royaume du silence Hayel Blackson - Au royaume du silence EmptyVen 13 Sep - 22:10

Bienvenuuuuuue! =D

(Faudra refaire le plein de Smileys XD)

Courage pour la fichette mon petit lapin! ♥
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MessageSujet: Re: Hayel Blackson - Au royaume du silence Hayel Blackson - Au royaume du silence EmptyVen 13 Sep - 22:10

Copaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin *_*

Courage pour ta fiche, beau gosse !
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MessageSujet: Re: Hayel Blackson - Au royaume du silence Hayel Blackson - Au royaume du silence EmptyVen 13 Sep - 23:13

Sophya : Grave ! Je suis en manque de smileys xD

Jillian : Tu tombes déjà sous mon charme avoue *dehors* Cool 
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MessageSujet: Re: Hayel Blackson - Au royaume du silence Hayel Blackson - Au royaume du silence EmptySam 14 Sep - 14:42

J'ai terminé ma fiche Very Happy
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MessageSujet: Re: Hayel Blackson - Au royaume du silence Hayel Blackson - Au royaume du silence EmptySam 14 Sep - 14:53

On s'en occupe au plus vite petit roi du nord *_*
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MessageSujet: Re: Hayel Blackson - Au royaume du silence Hayel Blackson - Au royaume du silence EmptySam 14 Sep - 14:58

Petit roi du nord ... j'ai bugué mais j'ai compris xD
Merci *_*
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MessageSujet: Re: Hayel Blackson - Au royaume du silence Hayel Blackson - Au royaume du silence EmptyDim 15 Sep - 10:40

Oh le garçon muet qui se mit à parler ♥ Belle fiche =D Tu es validé ! *-*

N'oublies pas de remplir tes fiches de demandes de lien, téléphone, e-mail, journal de bords et rps, ainsi que de faire un tour dans le rp extra! ♥

Bon jeu sur BM =D
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MessageSujet: Re: Hayel Blackson - Au royaume du silence Hayel Blackson - Au royaume du silence EmptyDim 15 Sep - 10:42

Merciiiiiiiiiiiiiiii *_*
Je suis validééééé *_*
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MessageSujet: Re: Hayel Blackson - Au royaume du silence Hayel Blackson - Au royaume du silence Empty

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