Sophya A. Turner ~ Color My Life With The Chaos Of Trouble
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Sophya A. Turner Fade & Glory
Infos de baseÂge du personnage : 26 ans Messages : 3199 Localisation : Vieux Quartier
Fiche RPG Votre Personnage Jauge de capacités: (130/200) Dons, capacités & petits plus: Ma boutique de Voodoo:
Sujet: Sophya A. Turner ~ Color My Life With The Chaos Of Trouble Ven 13 Sep - 0:32
Sophya A. Turner Slogan Slogan Slogan
GROUPE: Médiums ÂGE: 25 ans DATE DE NAISSANCE: LIEU DE NAISSANCE: METIER: Détective privée DON: Contact Spirituel - Sophya peut entendre un esprit l'appeler et lui parler, et ne peut le voir que dans ces moments là, sauf s'il décide de se montrer à elle. Bien entendu ces derniers prennent un malin plaisir à le faire, juste pour pouvoir parler en toute liberté.
AVIS SUR LES ESPRITS: Sophya n'en est pas spécialement fan à vrai dire. Elle les supporte, essentiellement parce qu'elle n'a pas le choix. Mais elle aimerait AVIS SUR BELAAM: L'AVEZ-VOUS REJOINT?: AVIS SUR L'ASSOCIATION DE MEDIUMS: L'AVEZ-VOUS REJOINTE?: Oui ET LA MAGIE DANS TOUT CA?: dîtes nous en un peu plus sur vos croyances à la Nouvelle Orléans
Caractère
Tantôt mutine, tantôt frigide, Sophya est tout un paradoxe à elle seule. Caractérielle, possessive, jalouse, exubérante, la jeune femme cache en elle de profondes blessures liées à l'abandon de ses parents. Mais pourtant, la brune niera toujours tenir compte de son passé, et cherchera toujours à aller de l'avant, voulant prouver à tous à quel point elle peut réussir, peu importe ses origines. Fière, Sophya ne lâchera jamais son objectif des yeux et se battra jusqu'au bout pour arriver à ce qu'elle veut.
Pourtant sous ses apparences de big boss, Sophya est une jeune femme extravagante, toujours prête à faire la fête et déconner. Vive d'esprit, mutine, elle possède un humour très pince sans rire, qui peut s'avérer être tordant. Pourtant bien souvent, la brunette ne le fera pas exprès. De plus sa franchise est à toute épreuve... So' pourrait vous balancer tout ce qui lui passe par la tête vous concernant, juste parce qu'elle ne peut pas cacher ce qu'elle a à dire. Souvent, cette tendance en énerve plus d'un, mais il faut avouer que cette capacité permet au moins de savoir ce que la jeune femme pense de vous. Et puis, si elle ne prend pas de gant, cela ne l'empêche pas quand même de penser à ce qu'elle dira et de le dire sur le ton le plus agréable possible, afin d'éviter tout malentendu. Sophya n'est pas quelqu'un qui prône la cruauté gratuite, juste qu'elle déteste les faux-semblants voila tout.
Mais si tous ces airs lui donnent un air de dure à cuire, elle cache au plus profond d'elle-même une fragilité sans nom, qu'elle ne laisse d'accès qu'à peu de personnes. Têtue, elle prétendra toujours que tout va bien, même si elle a atteint le plus bas des fonds. Et puis, la jeune femme apprécie beaucoup avoir le dernier mot, quitte à créer une plaidoirie pour pouvoir prouver ses propos.
Histoire
My heart fiction Superstition Your grace deathless Give life to my last breath
Partie I
Née de père et mère inconnus. C'est ce que la jeune femme lisait dans ce dossier, écrit à son attention. Jamais, Sophya n'avait voulu vraiment savoir d'où elle venait réellement. Pourtant sur les lignes noires, tapées encore avec une vieille machine à écrire, la brune pouvait lire sa date de naissance. Le 6 juin 1988, à Shreveport, Louisiane. 47 cm pour 2kg987gr. La jeune femme ne pouvait nier ressentir quelque chose en lisant ces bouts de papier, qui lui en apprenaient bien plus sur sa vie qu'elle n'en avait jamais su. Elle trouvait dans la farde jaune, le dossier d'abandon, les papiers de recueillement de l'orphelinat avec la signature de la jeune directrice de l'époque, son dossier de suivi, les psychologues qu'elle avait dû rencontrer.
Une photo tomba au sol et la jeune médium se pencha pour la ramasser. On la voyait assise sur son lit, serrant une poupée contre elle, fixant le miroir accroché au mur. Dans celui-ci, le reflet d'un homme, brouillé et pas très net, quasiment invisible, qui semblait âgé d'une cinquantaine d'années. Des larmes roulaient le long des joues de la petite brune, alors qu'elle semblait en réalité terrorisée. Le visage fermé, la Sophya de vingt-cinq ans se souvenait parfaitement de cette période. Les premières crises de panique quand elle apercevait ses premiers esprits, ses premiers contacts quand elle entendait murmurer non loin d'elle et que personne ne se trouvait dans la pièce, les frissons, l'angoisse, les nuits passées dans la chambre des surveillantes parce qu'elle empêchait les autres gamines de l'étage de dormir.
Son poing se serra autour de la photo. Son enfance n'avait pas forcément été des plus évidentes. Isolée de tous les autres, plus par timidité maladive qu'autre chose, elle était raillée pour traîner toujours dans les jambes des éducatrices de l'orphelinat. Petite miss-je-sais-tout, elle ne cessait pour autant de lire, de s'instruire, clamant haut et fort à qui voulait l'entendre que plus tard, elle serait avocate, défendant la veuve et l'orphelin. Gamine volontaire, courageuse, elle n'aimait pour autant pas la compagnie des autres enfants. Dès l'enfance, Sophya manifestait des crises d'autoritarisme et de supériorité aiguës. C'était donc difficile pour elle de se lier avec les autres qui avaient autant de mal à la supporter qu'elle-même. Et puis, il fallait avouer qu'ils la trouvaient bizarre, cette gamine qui hurlait pour un rien à n'importe quel moment de la journée, criant à tout va qu'il fallait la laisser tranquille, qu'elle n'en avait rien à faire de ce qu'on lui voulait, qu'elle voulait juste la paix.
Un soupir s'échappa de ses lèvres alors qu'elle laissait tomber la photo dans le classeur et attrapait un rapport des psychologues. « Dépression mineure ». C'était ce qu'ils lui avaient diagnostiqué alors qu'elle n'avait que sept ans. Elle se souvenait parfaitement avoir été assise dans le bureau de la psychologue de l'orphelinat, alors que le médecin lui posait toute sorte de questions auxquelles l'enfant ne savait pas répondre. Et l'autre écrivait, écrivait, écrivait. Sophya lui racontait les choses qu'elle voyait dans les miroirs, dans les vitrines, les tasses... Et la psy se contentait d'écrire que l'enfant ne voulait voir que le reflet de ses parents qui l'avaient abandonnés, que s'ils avaient des visages changeants c'était parce qu'elle ne pouvait pas savoir à quoi ils ressemblaient. Que c'était le signe d'un manque d'affection évident, mais qu'il était dangereux pour elle d'être placée dans une famille tant que ces visions continueraient.
Alors, elle cessa de parler de tout cela, s'enfermant dans sa propre bulle, faisant comme si tout était normal en elle. Elle ne criait plus quand elle entendait des murmures dans son oreille, ou que son regard se posait sur une vitre au reflet inquiétant. Elle se contentait de fermer les yeux et de compter, espérant que quand elle les rouvrirait, la vision serait partie.
Mais jamais cela n'arriva.
C'est en portant sa main à ses joues que la brunette se rendit compte que des larmes coulaient le long de ses joues. Elle avait souffert, bien plus que de raison, de l'absence de compréhension de son don, pas encore consciente qu'elle était une médium. Considérée comme un monstre de foire, sans parents ou vrais amis pour se confier et se soulager. Oubliée, isolée. Sophya déglutit, avant de reposer la feuille d'archives et de s'en saisir d'une nouvelle. Son histoire changeait désormais.
Nature quaking Prophets aching I kneel faithful Damnation cracks the sky
Partie II
Ses doigts s'accrochèrent à l'acte d'adoption de la famille Turner. Maria et Stephen avaient été les parents dont toute sa vie, elle avait rêvé. Et même qu'elle avait gagné un frère dans l'équation, James, âgé de quatre ans de plus qu'elle. Un sourire discret s'étala sur ses lèvres, alors que ses souvenirs remontaient jusqu'à la période fatidique. La première rencontre entre ses parents et elle avait eu lieu le surlendemain de son dixième anniversaire. Si le couple aurait voulu adopter un enfant plus jeune, ils n'avaient pas eu le coup de coeur. Ils avaient rencontré une dizaine d'enfants, les avaient regardé de loin jouer dans le jardin, avant que leur regard ne s'attarde sur la silhouette menue de la médium. Un peu comme dans une scène cliché, Sophya avait relevé la tête et leur avait adressé un sourire discret, juste parce qu'elle se sentait observée. Ils se revirent quelques fois, ensuite, le chiffre s'étant effacé de sa mémoire, comme si elle avait toujours fait partie de leur famille malgré tout.
Elle posa les yeux sur un cliché de leur petite famille, elle coincée dans les bras de son frère, qui la surplombait de deux bonnes têtes, Maria et Stephen les entourant de leurs bras. La photo avait été prise sur une plage, une semaine après l'adoption officielle. Ses longs doigts vinrent caresser le bout de papier avant qu'elle ne redresse la tête. Il ne lui restait plus qu'une demie heure pour consulter les archives des dossiers, son patron avait été clair.
A nouveau, sa main laissa retomber le papier, pour voir son premier bulletin scolaire. Ces rats gardaient vraiment tout ce qui la concernait, du moins jusqu'à sa majorité. Il ne fallait pas nier que toujours, elle avait été une élève brillante et intéressée, cherchant toujours à pousser ses limites plus loin. Pourtant, c'était à cette période qu'elle avait eu son premier vrai contact avec un esprit. Elle était dans la salle de bain, âgée de maintenant quatorze ans, quand son reflet la fit littéralement hurler. En face d'elle, une jeune femme la fixait, d'une vingtaine d'années plus âgée, blonde. Elle tentait de lui parler mais dans sa panique, Sophya s'était reculée, avait chuté, entraînant porte-serviette et étagère avec elle. Sa mère était alors montée en panique, la découvrant au sol, tremblante de peur, claquant des dents, presque en état de choc. Les souvenirs remontaient alors et ne s'apaisaient pas, tandis que Maria prenait sa fille dans ses bras et la berçait tendrement, lui enfilant un peignoir par-dessus sa serviette, afin que son mari vienne la porter dans sa chambre. Le résultat de cette frayeur ? Une fine et longue balafre qui s'étalait de sa hanche jusqu'au-dessus de ses côtes.
Elle raconta ce qui s'était passé dans la salle de bain à James, après être venue s'installer dans ses couvertures et blottie contre lui. Elle entretenait une relation presque fusionnelle avec son frère adoptif, au-delà de toute limite. Et aujourd'hui encore, ça n'avait pas changé. Il n'avait pas fui en apprenant ses capacités, l'avait même encouragée à en parler avec leurs parents, lui assurant qu'elle pourrait être surprise de leur réaction. Il l'avait même prise par la main et avait convoqué un conseil de famille exceptionnel, afin du parler du cas Sophya, comme il s'amusait encore à l'appeler aujourd'hui.
En voyant une autre photo d'un repas de Thanksgiving, son regard s'adoucit considérablement. Jamais elle n'aurait espéré qu'on ne l'accepte de la sorte, même pas en rêve. Doucement, elle se remémora toutes ces fois où on l'avait emmenée chez des prêtres Voodoo, juste pour qu'elle puisse discuter de son don, et parvenir à ne plus en avoir peur. Ou quand sa grand-mère adoptive lui posait des questions sur son talent particulier. Personne ne l'avait rejetée comme cela avait pu se passer auparavant, à l'orphelinat. Et doucement, elle avait mis un baume sur ses blessures d'enfant, se reconstruisant malgré les visites régulières de la directrice de l'orphelinat. Juste pour la routine.
Un rire s'échappa de ses lèvres alors qu'elle trouvait la photo de sa remise de diplôme, dans sa toge et son bout de papier fièrement exposé devant elle, ses parents l'encadrant de chaque côté. L'adolescence se terminait, laissant place à l'âge adulte.
Rise from ashes Violent clashes My soul, vacant Clean me of all this sin
Partie III
La brochure de son université la fit sourire, malgré tout. Son regard se posa sur l'horloge. Quinze minutes. Même s'il n'y avait plus rien qu'elle ne savait sur elle-même, cela restait tout de même les meilleures années de sa vie.
La fac de droit l'avait accueillie à bras ouverts, avec ses gros ouvrages compliqués, ses heures de cours interminables. Mais les soirées estudiantines avaient été le moyen de se découvrir et de se libérer de toutes ses entraves. Ses parents s'étaient saignés pour qu'elle puisse obtenir un prêt pour les financer, et elle enchaînait petits boulots et travail scolaire, afin de pouvoir continuer ses études. Un an après leur commencement, elle fit la rencontre d'un jeune homme, Chase, en soirée. Un soir, puis un autre, et encore un autre. Ils se revoyaient souvent, s'amusaient bien. Et finalement, ils se retrouvèrent dans le même lit. Une fois, puis deux, puis trois,... Les semaines passèrent, les mois aussi. Et finalement ils se mirent ensemble, comme si c'était une évidence. Deux caractères difficiles à consolider, mais quelque chose les liaient malgré tout, ce lien ténu qu'était leur don.
Ils se présentèrent à leur famille respectives, et puis sous leur insistance, finirent par se marier. Sophya termina ses études, Chase ouvrit sa galerie. La routine s'installa, moins piquante que leur relation d'antan. Les disputes se multipliaient, l'absence de l'autre se faisait plus courante. Ils s'aimaient toujours mais... Mais. La présence d'Alastair n'aidait pas vraiment leur couple, même si Sophya lia une sorte de complicité avec l'esprit, surtout pour faire enrager son mari. Ils prirent un appartement commun, qu'ils décorèrent avec goût, et dans lequel la jeune femme vivait encore aujourd'hui.
Deux ans plus tard, la situation dégénéra vraiment. Sophya fit sa vraie rencontre avec son esprit. Elijah était un jeune homme qui venait de mourir dans un accident de voiture. Protecteur, sympathique...Mais casse pieds aux yeux de Sophya qui commençait seulement à maîtriser son don, avec l'aide du prêtre Voodoo que ses parents l'avaient emmené voir. Avec Chase, ils finirent par s'asseoir autour d'une table, avant qu'il ne retourne à la galerie, et qu'elle-même n'aille dans le bureau de l'avocat pour lequel elle travaillait. Elle allait demander le divorce. Elle l'aimait toujours mais ce n'était plus possible de vivre de la sorte. Ils continueraient leur relation, vivrait dans deux domiciles séparés, verraient d'autres personnes si ils le voulaient, mais ils n'étaient juste pas faits pour la vie commune. Ils divorcèrent donc à l'amiable, se partageant tout, continuant de se voir.
Sophya posa à nouveau le papier de divorce dans le dossier, dernière pièce officielle à son encontre. C'était effrayant de voir au fond que toute sa vie était contenue dans un dossier, comme d'abord pupille de l'état et puis comme enfant adoptée. Refermant le classeur jauni par le temps, elle se pencha vers l'archiviste afin de lui tendre le dossier.
« Vous ne voulez pas de copie, Miss Turner ? »
« Non, merci, inutile de remuer le passé. »
Elle lui adressa un sourire poli, avant de remettre son sac sur son épaule et de se retourner.
« Bonne fin de journée, au revoir. »
Test RP
Son regard flotta quelques instants sur la bâtisse sombre et désormais délabrée de son ancienne demeure. L'orphelinat de Nouvelle Orléans tirait vraiment une triste mine. Les volets défaits, les rideaux élimés, les végétations épaisse ne laissaient plus deviner les cris d'enfants qui avaient été accueillis dans ces lieux auparavant. Non, désormais tout ce qui restait des vestiges de la pension n'étaient qu'un plancher grinçant et sali par la poussière, des fenêtres aux vitres brisées, recouvertes de cartons et des boîtes, emballant les affaires des derniers habitants.
La directrice l'avait appelée la veille, tard dans la soirée, la suppliant de faire tout son possible pour sauver l'endroit. Toute son oeuvre, toute sa vie était dans cet endroit, qu'elle avait chéri jusqu'à la fin. Mais la juriste n'avait aucun pouvoir, pas en si peu de temps du moins. Peut-être pourrait-elle travailler à une réouverture, mais le dossier était difficile à avaler, il fallait qu'elle se l'avoue. Pourtant le lendemain matin, à l'heure de la mise en demeure, Sophya se trouvait sur les lieux, le visage fermé, les yeux néanmoins plus humides que d'habitude.
Les derniers curieux quittaient l'endroit alors que la jeune médium elle, se dirigeait vers l'entrée avec l'accord des policiers. Il lui était nécessaire de dire adieu à cet endroit pour de bon. Plantée dans le hall d'entrée, elle avisait le décor sordide de l'orphelinat, ses volets abîmés, ses murs poussiéreux, le parquet grinçant, l'escalier en colimaçon. Tout cela lui rappelait tellement de mauvais souvenirs. Ses pieds se posèrent sur la première marche de l'escalier qui émit un craquement sinistre sous son talon, et la jeune femme monta précipitamment jusque son ancienne chambre. Tout était encore dans le même ordre, du lit à l'armoire en passant par la poupée de porcelaine qu'elle avait laissé derrière elle, sur l'appui-fenêtre. Le miroir dans lequel elle avait vu son premier esprit, juste en face de son lit.
Soudain, brisant le silence, elle glissa.
"Pas maintenant Elijah. Pas maintenant."
La boule dans le fond de sa gorge l'obligea à se racler la gorge avant qu'elle ne daigne tourner son regard vers l'esprit du jeune noir. Un sourire faussement aimable se glissa sur son visage alors qu'elle ne voulait pas lui montrer à quel point la situation pouvait lui être pénible.
"Qu'est-ce que tu veux? Qu'est-ce que tu fais ici?"
"Juste voir comment tu allais Sophya, rien d'autre."
Un rire sans joie s'échappa des lèvres de la brune, qui prit la direction de la porte et de la sortie, sans un regard vers l'esprit.
"Je vais bien comme tu peux le voir. Aucune raison de t'inquiéter."
La médium ferma la porte derrière elle, cloisonnant ses souvenirs derrière le bois lourd et grimaçant, cassé par endroit. Elle comprenait pourquoi on avait demandé la fermeture de l'établissement. Un soupir franchit ses lèvres alors qu'elle passait entre les allées de policiers.
Il était temps de laisser le passé derrière elle. Une fois pour toute.
Hors Jeu
PSEUDO: Edana ÂGE: 22 ans et toutes mes dents COMMENT AVEZ-VOUS CONNU BM?: Je suis la fonda' DEPUIS COMBIEN DE TEMPS VOUS RP?: VOTRE IMPRESSION SUR LE FORUM?: DESIREZ-VOUS UN PARRAIN/MARRAINE?: Non merci FREQUENCE DE CONNEXION? Présence sur le forum: 7j/7 AVATAR: Sophia Bush UN COMMENTAIRE?: ACCEPTEZ-VOUS L'INTERVENTION DE JOUEURS ESPRITS DANS VOS RP'S?: Oui
Dernière édition par Sophya A. Turner le Dim 4 Mai - 21:36, édité 8 fois
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Sujet: Re: Sophya A. Turner ~ Color My Life With The Chaos Of Trouble Ven 13 Sep - 21:05
Ma super amieeeeeee que je vais hanter ♥
Sophya A. Turner Fade & Glory
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Sujet: Re: Sophya A. Turner ~ Color My Life With The Chaos Of Trouble Sam 14 Sep - 14:50
Fichette terminée! =D
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Sujet: Re: Sophya A. Turner ~ Color My Life With The Chaos Of Trouble Sam 14 Sep - 15:02
Bienvenue à l'admin ! *c'est nul, je sors*
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Sujet: Re: Sophya A. Turner ~ Color My Life With The Chaos Of Trouble Sam 14 Sep - 15:03
Meuh non, c'est gentil! ♥
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Sujet: Re: Sophya A. Turner ~ Color My Life With The Chaos Of Trouble
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